Il ne manquait plus à Jean Botquin que cette rencontre avec cette forme ouverte, qui permet de tout dire en taisant presque tout, qui permet d’être en continuité avec une poétique ancestrale mais toujours ancrée dans notre modernité.Ainsi, ces textes dissociés, ces haïkus distribués et rangés en plusieurs parties donnent-ils une impression de totalité, sorte de « chaînes de poèmes », donnés et repris, à la manière de l’inspiration et l’expiration d’un souffle.Respiration donc, qui va…
Auteur de La chambre noire du calligraphe
Recueil de poésie où l'amour, sauf peut-être l'Amour divin, engendre souvent la tristesse.