Tout frais élu à la mairie, Oliver Larnac nomme à la tête de la 10e division de police son vieil ami et complice Jack Lescrot, qui n’a pourtant vraiment rien d’un flic. Sur place, Jack découvre une situation calamiteuse : l’équipe ne compte plus que trois enquêteurs un peu bras cassés et assez tire-au-flanc, heureusement secondés par Prosper, un formidable cochon renifleur de faux billets. On surnomme désormais cette division la brigade des buses. La mission de Jack est double : rétablir la réputation de la brigade et accessoirement rester en vie. Car, il le découvre bien vite, ses prédécesseurs ont subi un sort peu réjouissant…
Un roman qui paraît dans une collection de romans noirs, qui plus est intitulée « Cosy crime » est déjà une manière de se singulariser. De plus, l’éditeur et/ou l’auteur agrémente la couverture de deux phrases qui mettent l’ouvrage sous le parrainage d’Arsène Lupin « De dignes héritiers » et de Vidocq « La meilleure des brigades ». Avec en illustration un cochon grassouillet sous un képi de police. Il ne nous reste plus qu’à aller voir ce qu’il y a sous le capot (ou la couenne) de ce premier roman d’un policier né à Liège, ce qui ne manque pas d’évoquer une autre référence.La mise en place des personnages ne traîne pas et pourrait annoncer une future série. Il y a Jack Lescrot (pour le coup,…
Max Kevlar [1] , de son vrai nom Maximilien Kevlarovitch, est un détective privé bruxellois spécialisé dans…