La Belle Etoile (Suivi de Le tilleul de Stalingrad) : roman et nouvelles


RÉSUMÉ

Dans une atmosphère de fin du monde, le cargo La Belle Étoile est le dernier à quitter le port de Lushun. À son bord, quelques officiers, des hommes d’équipage et leur étrange cargaison : un vieux paysan et son troupeau de quarante juments. Les hommes de La Belle Étoile ignorent tout de leur incroyable mission…
Prix Rossel 2002.
Roman réédité en 2006, suivi de « Les tilleuls de Stalingrad ».

  lire la suite sur  Bela


PRIX
  Prix Rossel, 2002

À PROPOS DE L'AUTEUR
Xavier Deutsch
Auteur de La Belle Etoile (Suivi de Le tilleul de Stalingrad) : roman et nouvelles
Mon nom est Xavier Deutsch. Je suis né à Leuven (Belgique) le 9 février 1965, dans un milieu normal. En janvier 1989, je publie mon premier roman : “ La nuit dans les yeux ”, chez Gallimard. En 1990, obéissant à l’appel du drapeau, je sers la patrie et l’intérêt collectif dans les rangs du 1er Wing de chasse, de la Force aérienne. J’en sors sous-lieutenant. En 1994 j’obtiens mon permis de conduire les camions et, le 21 décembre 1995, mon diplôme de docteur en Philosophie et Lettres, de l’Université catholique de Louvain. Le 1er avril 1996, ayant publié un nombre significatif de romans, j’entreprends de vivre de mon écriture. Le 25 décembre j’intègre (après rénovation) la jolie vieille maison que j’ai acquise quelques mois plus tôt, dans une rue villageoise de Chaumont-Gistoux. C’est de là que j’écris ces lignes. Le 4 décembre 2002, le roman “ La belle étoile ” obtient le prix Rossel. Et quelques semaines plus tard je m’aligne, aux élections fédérales, sur la liste Ecolo du sénat. Depuis lors tout continue d’aller bien. J’ai à ce jour publié une trentaine de livres ainsi que de nombreux textes dans la presse ou des ouvrages collectifs. Les arts plastiques me passionnent, et mes textes accompagnent régulièrement les travaux de photographes et de peintres. J’aime les arbres et le bûcheronnage. Pour le reste, je continue de penser que la littérature est libre. C’est-à-dire dégagée de ses auteurs, autant que possible. Il existe des auteurs qui asservissent la littérature, qui l’utilisent pour s’exprimer, pour dire les choses qu’ils pensent et qu’ils ressentent, pour transmettre des idées, délivrer des messages, des souvenirs ou des peurs anciennes. Je continue de penser que la littérature ne sert pas à cela. La littérature ne doit pas être la parole ou le prolongement de l’auteur. Elle est, au contraire, une création : elle émane de l’auteur, mais elle s’en affranchit, elle en est distincte, séparée. Voilà pourquoi il n’existe aucun intérêt à connaître les détails de la naissance d’un auteur, la religion de ses pères, la couleur des murs de sa chambre, et le prénom de ses cousins. D’ailleurs, je n’ai pas de cousins. Lauréat d'une bourse de la Fédération Wallonie-Bruxelles - Bourse de création 2021

AVIS D'UTILISATEURS

FIRST:xfirstword - "La Belle Etoile (Suivi de Le tilleul de Stalingrad) : roman et nouvelles"
stdClass Object ( [audiences] => [domains] => Array ( [0] => 10367 ) )

Ceci pourrait également vous intéresser...

Écrit sous l’eau

C’est peut-être parce qu’il a été Écrit sous l’eau qu’il donne l’impression…

L'Ardenne fantastique

Légendes de la forêt Les pays de forêts sont, par excellence, ceux des légendes. L'Ardenne, qui est toute en sa forêt, ne déroge pas à la règle. Les légendes y sont indissociables de certains éléments du paysage : rochers, pierres, arbres, sources... De tout temps, la nature a été ressentie…

Sfumato

Ce matin,  je suis allée chercher du lait entre les bombes. À prix d’or.Au retour, le chaos du chemin…