« Inspiré du Sonnet 43 de William Shakespeare (C’est quand mes yeux sont clos qu’ils regardent le mieux), ce récit de François Emmanuel est la mémoire délicate d’une passion enfouie, creuset silencieux où le corps garde jalousement ses blessures. Comment, six années plus tard, deux êtres se retrouvent, s’observent, se cherchent, et tentent de se reconnaître. »
« Le livre est accompagné d’un CD de l’Ensemble Nahandove (Serge Clément au piano, Els Crommen à la voix, Eric Leleux à la flûte…
Le nouveau roman de Sophie Wouters nous immerge en Sicile dans les années 1970. Fernando et…