Dans la ligne directe de Bataille (pas l’auteur), Aurélie William-Levaux reprend la forme d’un quasi-journal pour nous livrer sans filtre et toujours avec un humour grinçant son quotidien et ses préoccupations – accrues par temps de pandémie – existentielles, créatrices, mais aussi tout simplement citoyennes d’artiste.
Autrice et illustratrice de Justice (pas le groupe)
Aurélie William LEVAUX, Justice (pas le groupe), Cambourakis, 2021, 176 p., 18 €, ISBN : 978-2-36624-576-9Ce qui était par contre clairement sous contrôle, c’était nous, et il allait falloir un certain temps pour que nous sortions de la torpeur et retrouvions une certaine énergie et foi en l’existence. On ne s’ennuie clairement pas en lisant Aurélie William Levaux. Dans la continuité de son dernier livre Bataille (pas l’auteur) paru en 2019 aux éditions Cambourakis, Aurélie William Levaux rempile avec Justice (pas le groupe) aux mêmes éditions. Nous y retrouvons le style très reconnaissable de l’autrice, par ailleurs dessinatrice et plasticienne : souvent de longues phrases entrecoupées de discours…
Le deuxième roman de la Bruxelloise Ziska Larouge, nouvelliste surtout et auteure déjà…
Molière : Le Malade Imaginaire est mort il y a 350 ans (L’Article n°29)
Editorial de Maxime Lamiroy : Pour rendre hommage à Molière, Gaëtan Faucer se met en scène dans une pièce cocasse qui lui donne l’occasion de souligner l’importance du groupe, c’est-à-dire de la troupe. Le drame du comédien est de jouer seul sans public. La comédie est en effet une affaire publique, même d’État quand elle se joue devant le Roi. L’hommage au dramaturge ne peut qu’inévitablement devenir hommage à l’art théâtral, Gaëtan Faucer insère dans son texte plusieurs sentences bien connues sur le théâtre. Le tout forme une pièce pimpante digne du rythme des célèbres Fourberies de Scapin . Une mise en abîme réussie pour « un malade qui se porte comme un charme ». Pour rendre hommage à Molière, Gaëtan Faucer se met en scène dans une pièce cocasse qui lui donne l’occasion de souligner l’importance du groupe, c’est-à-dire de la troupe. Le drame du comédien est de jouer seul sans public. La comédie est en effet une affaire publique, même d’État quand elle se joue devant le Roi. L’hommage au dramaturge ne peut qu’inévitablement devenir hommage à l’art théâtral, Gaëtan Faucer insère dans son texte plusieurs sentences bien connues sur le théâtre. Le tout forme une pièce pimpante digne du rythme des célèbres Fourberies de Scapin. Une mise en abîme réussie pour « un malade…