Jo et moi : ça commence

RÉSUMÉ

Jo et Moi, c’est la vie d’un petit garçon et de son chien. Et autant vous le dire tout de suite : on ne s’ennuie pas à la maison entre une soeur dresseuse d’ours polaire et des parents écolos ! Ah oui, on ne vosu avait pas dit, les parents « consacrent chaque journée à construire un meilleur avenir pour la planète ».Une série humoristique pour les plus jeunes lecteurs, à la découverte de l’écologie.

À PROPOS DES AUTEURS
Nancy Delvaux

Illustrateur de Jo et moi : ça commence

Née le 26 avril 1970 à Rocourt

Illustration, Saint-Luc, Liège

Mes sources d'inspiration sont la vie quotidienne et mes deux filles. Ma technique est un mélange d’aquarelle, de crayons, d’acrylique. Parois vient s'ajouter lecollage. La mise en ceur numérique occupe une place importante dans mon travail pour la presse. Je collabore avec divers magazines pour enfants.

 

AVIS D'UTILISATEURS

FIRST:xfirstword - "Jo et moi : ça commence"
stdClass Object ( [audiences] => [domains] => Array ( [0] => 9208 ) )

Ceci pourrait également vous intéresser...

Klimt

Vienne, 1907. Le peintre Gustav Klimt rend visite aux époux Bloch-Bauer. Ferdinand demande alors à Gustav de réaliser le portrait de sa femme, Adèle ; requête entraînant un flashback. Six ans auparavant, alors que Klimt essuyait des critiques acerbes au sujet de son œuvre La Médecine , il a rencontré ce couple, admirateur de son génie et dont la femme l’a prié de lui ouvrir les portes de son atelier. Au même moment, l’artiste recevait en rêve l’inspiration pour son prochain tableau. C’est par ce prisme que l’on entre dans l’univers de l’artiste : son atelier, ses modèles, sa mère, sa compagne, Émilie, mais aussi ses rêves, ses angoisses, ses sources d’inspiration en somme. L’histoire narrée en bande dessinée par Cornette et Marc-Renier est une tranche de vie, prétexte à l’évocation du peintre, de son style, de son époque et de l’avant-gardisme dont il y faisait preuve. L’idée est en effet plus de mettre en avant ses particularités que de réaliser sa biographie. Le récit est assez simple et aurait peu d’intérêt sans l’aspect « inspiré de faits réels », mais n’en est pas moins cohérent et bien rythmé.Les dessins sont soigneusement détaillés. Le rendu est classique, avec un crayonné assez fort accentuant les sujets principaux. Les travaux de Klimt évoqués sont réinterprétés plutôt que cités et le résultat est réussi et efficace : le redesign des œuvres permet une intégration fluide dans les cases tout en invitant à les découvrir sous un angle neuf.Le récit principal est suivi d’un court cahier didactique sur Gustav Klimt. Il complète la bande dessinée en développant quelques sujets qu’elle évoque. On y voit notamment des reproductions des œuvres évoquées dans l’album. Ainsi, le lecteur a à portée de main de quoi satisfaire sa curiosité, titillée par l’histoire racontée en images et phylactères.La bande dessinée Klimt est une introduction sympathique à l’œuvre de l’artiste. Les connaisseurs n’apprendront probablement pas grand-chose, là où les néophytes apprécieront l’accessibilité du propos et les informations proposées en fin d’ouvrage. Les visuels soignés plairont aux amateurs de bande dessinée traditionnelle, alors que l’histoire…