Jean-louis Vanham

À PROPOS DE L'AUTEUR
Jean-Louis Vanham

Auteur de Jean-louis Vanham

  • Essais d'octobre, 1953
  • Poésie de mes seize ans, 1954
  • Dilectae, 1956
  • Les hallucinations, 1957
  • Dissonances, 1958
  • Sonnets d'apocalypse, 1958
  • Apothéose, Bruxelles, chez l'auteur, 1959
  • Je disputerai la terre à la nuit, idem, 1959
  • Chants prisonniers, 1960
  • Vivre, idem, 1961
  • Entre deux astres, 1961
  • Ce fruit cueilli trop vert, idem, 1962
  • Sans voix et Brûlures, idem, 1964
  • Jeunes colères, 1965
  • Semailles, idem, 1970
  • Possessions, 1971
  • Poèmes choisis, Audiothèque, 1971
  • Fertilités, idem, 1972
  • La ruche verte, 1961
  • Nid détoiles, 1963
  • Manifeste de la souffrance à la poésie, 1959
  • Armand Bernier ou la transfiguration du réel, 1960
  • Géo Libbrecht ou les symboles recréés, 1961
  • Deux profils féminins, 1961
  • Simon-Pierre Arnold chante Jean-Louis Vanham

  • AVIS D'UTILISATEURS

    FIRST:xfirstword - "Jean-louis Vanham"
    stdClass Object ( [audiences] => [domains] => )

    Ceci pourrait également vous intéresser...

    Barbedure

    Ce qui devait arriver arriva : Barbedure devint la risée de ses compagnons d'abordage et la bête noire du capitaine…

    CHAMPS DE BATAILLE

    Éric Derkenne a fait du visage le théâtre de ses précises opérations.Jour après jour cerné de lignes ombrageuses, le siège du combat se disloque en de sombres cavités. Les yeux, les oreilles, les narines, la bouche sont autant de gouffres que l'artiste sonde inlassablement et qui emportent celui qui les scrute dans des tourbillons vertigineux. Les têtes prennent corps et dans ce bataillon de figures totémiques, chaque soldat se distingue grâce à une infinité de détails graphiques.Parti d'un bigbang de formes colorées et isolées dans l'espace, Éric Derkenne a mis en place au fil des ans une méthode précise et immuable, un réseau de circonvolutions de cercles et de serpentins qui envahit la feuille blanche, donnant naissance à d'énigmatiques portraits. Tel une « dentellière du stylo à bille », il s'est abîmé avec application dans ce lent ouvrage de tissage, d'entrelacement de lignes, ceignant sa propre image, par maints assauts répétés. À l'identité qui défaille, Éric Derkenne a répondu…