Je soussigné, Charles le Téméraire, Duc de Bourgogne : roman

À PROPOS DE L'AUTEUR
Gaston Compère

Auteur de Je soussigné, Charles le Téméraire, Duc de Bourgogne : roman

Gaston Compère est né en 1924 dans le Condroz namurois. Très tôt, il commence à lire et s’intéresse au piano. Il étudie la musique au Conservatoire de Liège et écrit une thèse sur le théâtre de Maeterlinck. Poète, nouvelliste, romancier, dramaturge, essayiste, il est l’auteur d’une œuvre ample, originale et puissante.

AVIS D'UTILISATEURS

FIRST:xfirstword - "Je soussigné, Charles le Téméraire, Duc de Bourgogne : roman"
stdClass Object ( [audiences] => [domains] => )

Ceci pourrait également vous intéresser...

Akli, prince du désert

Akli doit traverser le désert pour aller chez son oncle et affronter les méchants génies. Il demande à Azumar le chameau de l'accompagner et pour le convaincre, il lui propose…

Ni pardon, ni talion : la question de l'impunité dans les crimes contre l'humanité

Une analyse critique de la justice en matière de crime contre l'humanité. Selon l'auteur, à la fois nécessaires et insuffisantes, les institutions judiciaires ne peuvent être que le point de départ d'une lutte plus vaste contre la barbarie universelle, fondée sur un consensus sur le droit de l'être humain, une éducation…

CHAMPS DE BATAILLE

Éric Derkenne a fait du visage le théâtre de ses précises opérations.Jour après jour cerné de lignes ombrageuses, le siège du combat se disloque en de sombres cavités. Les yeux, les oreilles, les narines, la bouche sont autant de gouffres que l'artiste sonde inlassablement et qui emportent celui qui les scrute dans des tourbillons vertigineux. Les têtes prennent corps et dans ce bataillon de figures totémiques, chaque soldat se distingue grâce à une infinité de détails graphiques.Parti d'un bigbang de formes colorées et isolées dans l'espace, Éric Derkenne a mis en place au fil des ans une méthode précise et immuable, un réseau de circonvolutions de cercles et de serpentins qui envahit la feuille blanche, donnant naissance à d'énigmatiques portraits. Tel une « dentellière du stylo à bille », il s'est abîmé avec application dans ce lent ouvrage de tissage, d'entrelacement de lignes, ceignant sa propre image, par maints assauts répétés. À l'identité qui défaille, Éric Derkenne a répondu…