Elisa Sartori questionne notre rapport à la langue, à l’apprentissage d’une langue étrangère.
Comment la fait-on sienne ? Et si investir une nouvelle langue ne se limitait pas à l’acquisition d’une grammaire, mais représentait bien plus ?
Ce leporello, se déplie en 8 volets et se lit recto-verso (soit 16 planches) dans un mouvement circulaire pouvant se faire à l’infini.
Ce leporello est un livre ; il se glisse dans un mince étui et se range dans les rayons d’une bibliothèque. Ce livre est un leporello ; fait d’une seule page pliée en accordéon, il ne se manipule pas comme un ouvrage traditionnel ; et voilà que se modifient pas mal d’habitudes de lecture…Devant ce petit volume qui se déploie et sous l’apparente simplicité de sa forme, un certain nombre d’hésitations disparaissent : il n’y a pas à se demander ce qui se joue dans une mise en page serrée qui freine la lecture ou dans une disposition aérée qui rend la lecture aisée ; il n’y a pas à balancer entre le continu ou le discontinu ; il n’y a pas à s’interroger sur ce qui se dissimule ou ce qui s’expose…Car tout est…
Le petit Roberto décide d'aller acheter une auto ; une belle, une grande, une qui fait…
Aiko s’est levé avec une furieuse envie de monter aux arbres. Lorsque son amie Nobou le rejoint, il est déjà dans les branches. Nobou est…