Elisa Sartori questionne notre rapport à la langue, à l’apprentissage d’une langue étrangère.
Comment la fait-on sienne ? Et si investir une nouvelle langue ne se limitait pas à l’acquisition d’une grammaire, mais représentait bien plus ?
Ce leporello, se déplie en 8 volets et se lit recto-verso (soit 16 planches) dans un mouvement circulaire pouvant se faire à l’infini.
Née le 3 février 1990 à Cremona, Italie
Baccalauréat académique de premier niveau en Décoration, Académie des Beaux-Arts, Venise, Italie Master en Arts plastiques, visuels et de l'espace à finalité didactique - option Illustration ARBA-ESA, Académie royale des Beaux-Arts, Bruxelles
Mes histoires racontent les petites choses qui rendent particulier le quotidien de chacun, un caractère, une situation, deux sœurs qui se disputent... La vie, un moment, une pensée. Une réalité intéressante, intense et parfois divertissante. Mes techniques de prédilection sont le collage, l'aquarelle, la gouache et l'encre de Chine. La photographie est toujours à la base de mes illustrations.
Ce leporello est un livre ; il se glisse dans un mince étui et se range dans les rayons d’une bibliothèque. Ce livre est un leporello ; fait d’une seule page pliée en accordéon, il ne se manipule pas comme un ouvrage traditionnel ; et voilà que se modifient pas mal d’habitudes de lecture…Devant ce petit volume qui se déploie et sous l’apparente simplicité de sa forme, un certain nombre d’hésitations disparaissent : il n’y a pas à se demander ce qui se joue dans une mise en page serrée qui freine la lecture ou dans une disposition aérée qui rend la lecture aisée ; il n’y a pas à balancer entre le continu ou le discontinu ; il n’y a pas à s’interroger sur ce qui se dissimule ou ce qui s’expose…Car tout est…
Suzie a perdu le sourire, inquiète de ce qui se trame dans le monde des adultes. Inquiète d’inquiéter…
Louis est un homme à part : il vit dans la forêt, auprès des sangliers. Ce sont ses vrais seuls amis, libres et sauvages, comme lui. Un jour pourtant, un dramatique accident…