Cinq cadres partent se retaper et combattre leur stress par la thérapie, la méditation et le sport. Une remise à zéro empreinte de branchitude. Ils doivent plaire à tout prix, quitte à mystifier. Cela les fragilise. Vont-ils comprendre le ridicule et la frime de nos mœurs ?
Auteur de J’ai peur de mourir si je vis trop longtemps
Ils sont cinq à s’être inscrits auprès d’une société qui organise des sessions résidentielles de développement personnel destinées à des cadres d’entreprise. Pendant une semaine, ils rompent tout contact extérieur, doivent taire leur nom et celui de la société qui les emploie, remettent à l’accueil leurs smartphone et tablette. Leur emploi du temps leur est annoncé au fil de la journée : séances de musculation, de course à pied, de relaxation, discussions et animations en groupe et entretiens thérapeutiques individuels avec un médecin et psychologue. Quant aux repas, ils sont essentiellement à base de fruits et de légumes, généralement sans alcool. L’objectif annoncé est de leur apprendre à déstresser en adoptant une meilleure hygiène de vie.Dans…
Que ce soit doux pour les vivants
On a tourné la page, on dit souvent cela, ou il faut dire cela, on a tourné…
Bernard Gheur est décidément l’écrivain belge de la nostalgie heureuse. On retrouve…