Black Hills (Intégrale)

À PROPOS DE L'AUTEUR
Marc-Renier Warnauts (Marc-Renier)

Auteur et illustrateur de Black Hills (Intégrale)

Issu d'une famille d'artistes, Marc-Renier Warnauts, qui adopte son prénom comme pseudonyme, suit trois ans d'études à l'Institut St Luc de Liège. Il débute dans la bande dessinée dès 1982 et se retrouve au sommaire de magazines tels que Tintin et Super Tintin pour lesquels il réalise une série des contes et légendes du Moyen-Age, rassemblés par la suite en trois recueils édités par Le Lombard. Il crée, en 1981, avec le scénariste Giroud, le personnage de Jackson, publié également au Lombard. En 1990, il fait son entrée dans le revue Vécu où, sur un scénario de Patrick Cothias et Goué-Dard, il entame la série "le Masque de fer''. Parallèlement, en compagnie de Rodolphe, il illustre le premier volume de Melmoth aux éditions Dargaud. En 1992, il participe à la nouvelle mise en couleurs de Corentin de Paul Cuvelier. Toujours en 1992, il entame avec son frère, Warnauts (Eric) ''Ombres et Désirs'' paru dans A Suivre qui sort en album chez Casterman en septembre 1996. Toujours avec Warnauts, il publie chez Casterman ''Là où meurent les anges'', un récit dont l'action se déroule aux États-Unis au début des années 60. 2006 : auteur du "Dernier visiteur de George Sand", scénario de Rodolphe (Monum, éditions du Patrimoine).


AVIS D'UTILISATEURS

FIRST:xfirstword - "Black Hills (Intégrale)"
stdClass Object ( [audiences] => [domains] => Array ( [0] => 9208 ) )

Ceci pourrait également vous intéresser...

CHAMPS DE BATAILLE

Éric Derkenne a fait du visage le théâtre de ses précises opérations.Jour après jour cerné de lignes ombrageuses, le siège du combat se disloque en de sombres cavités. Les yeux, les oreilles, les narines, la bouche sont autant de gouffres que l'artiste sonde inlassablement et qui emportent celui qui les scrute dans des tourbillons vertigineux. Les têtes prennent corps et dans ce bataillon de figures totémiques, chaque soldat se distingue grâce à une infinité de détails graphiques.Parti d'un bigbang de formes colorées et isolées dans l'espace, Éric Derkenne a mis en place au fil des ans une méthode précise et immuable, un réseau de circonvolutions de cercles et de serpentins qui envahit la feuille blanche, donnant naissance à d'énigmatiques portraits. Tel une « dentellière du stylo à bille », il s'est abîmé avec application dans ce lent ouvrage de tissage, d'entrelacement de lignes, ceignant sa propre image, par maints assauts répétés. À l'identité qui défaille, Éric Derkenne a répondu…

Beauraing, une lumière dans la nuit

En 1932, à la fin de la guerre, un petit village de Belgique…