Auteur de Il n'y a qu'l'heure qui change... et encore pas très vite !
Né le 5 août 1955 à Grivegnée
Graduat Beaux Arts, Saint-Luc, Liège Art dramatique, Conservatoire royal, Liège
J'écris essentiellement pour le théâtre et particulièrement pour le Théâtre jeunes Publics depuis 25 ans. Plus récemment, je me suis consacré aussi à l'écriture de scénarii, pour le cinéma d'animation, et à l'écriture de textes destinés à la collaboration avec des illustrateurs. J'ai aussi aidé à la réalisation d'albums ou de recueils de textes écrits par des enfants et des adolescents... Mes textes s'inspirent de mon observation de la vie quotidienne, ils évoquent des thématiques contemporaines. Partant de cette observation, d'une certaine réalité - subjective - je tente de les colorer des parts non-dites et/ou imaginaires qui les entourent.
Lauréat d’une Bourse de la Fédération Wallonie-Bruxelles - Aide au projet, 2007 Lauréat d’une Bourse de la Fédération Wallonie-Bruxelles - Aide au projet, 2012
Au pays strict, règnent l’ordre et l’autorité. Y dominent aussi la police qui sévit, la censure,…
Léo a des difficultés à se faire accepter. Quand il parle, il arrive souvent que sa langue…
Émile Lansman étant connu comme « éditeur de théâtre », il est normal que tous les titres proposés par la Maison qui porte son nom soient classés automatiquement dans ce genre éditorial. Et pourtant, lorsqu’il s’agit de la collection Lansman Poche, l’hésitation est souvent de mise : ces livres sont-ils vraiment des textes de théâtre ? Ne seraient-ils pas plutôt des récits, des contes, voire de courts romans ? C’est encore le cas ici pour les trois textes courts constituant le dixième opus de Lansman Poche... Je ne sais quoi d’heureux / Catherine Zambon (France) Lansman Éditeur, coll. Lansman Poche 96 p. 2023 . – 12€ ISBN 978-2-8071-0370-2 Émile Lansman étant connu comme « éditeur de théâtre », il est normal que tous les titres proposés par la Maison qui porte son nom soient classés automatiquement dans ce genre éditorial. Et pourtant, lorsqu’il s’agit de la collection Lansman Poche, l’hésitation est souvent de mise : ces livres sont-ils vraiment des textes de théâtre ? Ne seraient-ils pas plutôt des récits, des contes, voire de courts romans ? C’est encore le cas ici pour les trois textes courts constituant le dixième opus de Lansman Poche. Trois nouvelles centrées sur les relations entre les humains et les animaux, préoccupation oh combien contemporaine ! Bien entendu elles peuvent être portées à la scène et se prêtent à une lecture à voix haute. Mais, écrits à la première personne, ces textes ont été conçus – mis en livre comme dit la 4è de couverture – pour accrocher des lecteurs et des lectrices. Chacune de ces nouvelles, prend son départ sur un mode sombre et désenchanté. La première imagine un futur pas très éloigné où tous les animaux auraient disparu. « La seule chose que j’aurais envie d’entendre, c’est le chant d’un oiseau. Mais il n’y en n’a plus » regrette la narratrice. La deuxième donne la parole à un homme meurtri et désabusé qui, brusquement, se prend d’intérêt pour un lézard qui s’est introduit dans la réserve à provisions de la cabane où il s’est réfugié. Enfin, dans la troisième nouvelle, une jeune femme découvre, non loin du mobil home que lui a légué sa mère, une chèvre et un chameau, derniers pensionnaires d’un cirque à la dérive. Mais, surprise, chacune de ces histoires se termine par un je ne…