Il faut que tu me comptes parmi nous

À PROPOS DE L'AUTEUR
Timoteo Sergoï (Stéphane Georis)

Auteur de Il faut que tu me comptes parmi nous

Arpenteur-Chansonnier, ou alors rampeur, marcheur, danseur. Mais ni nageur ni voleur. Ou encore : Enfant de cinquante ans et demi, plus poilu sur le menton que sur le crâne. On peut dire aussi : Corps sans profession précise, en partie constitué de viande pour chats. Poseur de bombes et de questions. Ou bien : Chercheur de mèches et de réponses, amoureux principal, exclusif et très jaloux de l’Univers entier. Comme quatre-vingt kilos de viande salie au thé noir qui a sans doute passé les trois cent mille kilomètres au compteur. Ou comme cent grammes de gâteau à la crème de barbe. Il se prend pour un médicament, se croit éperdument utile, sans savoir à quoi précisément. En attendant, il se tient debout dans le silence. Convaincu parfois d’être une table, un outil, un établi ou un marteau. Ou un crayon, peut-être. Mais pas une tronçonneuse. Et poète aussi, de temps en temps, comme tout le monde.
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Le Carnet et les Instants

Le vers de Hölderlin, « pourquoi des poètes en temps de détresse ? », ne cesse de sauter de siècle en siècle, de convoquer les poètes à y répondre, à tout le moins à s’y affronter. Figurant dans le poème élégiaque « Pain et vin », ce « Wozu Dichter in dürftiger Zeit ? » se décline sous la plume de Timotéo Sergoï. Que peut la poésie face au covid-19, quelles ressources individuelles et collectives nous propose-t-elle lors des confinements ? Comment une poésie hors quarantaine peut-elle déconfiner les corps et désincarcérer les esprits ? Durant les cinquante jours de confinement s’étalant du 20 mars au 8 mai 2020, le poète, comédien, artiste, voyageur Timotéo Sergoï a lancé à près de deux cents personnes un poème-gravure…


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