Hybrides (tome 4) : Au loin, une île...

À PROPOS DES AUTEURS
Thierry Smolderen

Auteur de Hybrides (tome 4) : Au loin, une île...

Après des études dans le cinéma d’animation et plusieurs expériences théâtrales et musicales, Thierry Smolderen se tourne vers la bande dessinée. Critique pour Les Cahiers de la bande dessinée, il signe aussi plusieurs essais sur le neuvième art. À partir de 1994, il est enseignant à l’École supérieure de l’image d’Angoulême. Il est aussi le scénariste de plusieurs séries : Gipsy, avec le dessinateur Enrico Marini, McCay, avec Jean-Philippe Bramanti, ou Ghost Money, avec Dominique Bertail. Avec Alexandre Clérisse, il publie Souvenirs de l’empire de l’AtomeL’Été diabolik et Une année sans Cthulhu.
Séraphine

Illustrateur de Hybrides (tome 4) : Au loin, une île...


AVIS D'UTILISATEURS

FIRST:xfirstword - "Hybrides (tome 4) : Au loin, une île..."
stdClass Object ( [audiences] => [domains] => Array ( [0] => 9208 ) )

Ceci pourrait également vous intéresser...

Les Saisons de la vie : Accordailles (tome 1)

Si filles et garçons se côtoient parfois jusqu'à l'âge du catéchisme, après, c'est le gouffre ; le gynécée d'une part, l'atelier ou le chantier d'autre part. Quand ils sont en droit de se revoir, ils sont devenus des étrangers parfaits ; la gamine à qui on crêpait le chignon à la sortie…

CHAMPS DE BATAILLE

Éric Derkenne a fait du visage le théâtre de ses précises opérations.Jour après jour cerné de lignes ombrageuses, le siège du combat se disloque en de sombres cavités. Les yeux, les oreilles, les narines, la bouche sont autant de gouffres que l'artiste sonde inlassablement et qui emportent celui qui les scrute dans des tourbillons vertigineux. Les têtes prennent corps et dans ce bataillon de figures totémiques, chaque soldat se distingue grâce à une infinité de détails graphiques.Parti d'un bigbang de formes colorées et isolées dans l'espace, Éric Derkenne a mis en place au fil des ans une méthode précise et immuable, un réseau de circonvolutions de cercles et de serpentins qui envahit la feuille blanche, donnant naissance à d'énigmatiques portraits. Tel une « dentellière du stylo à bille », il s'est abîmé avec application dans ce lent ouvrage de tissage, d'entrelacement de lignes, ceignant sa propre image, par maints assauts répétés. À l'identité qui défaille, Éric Derkenne a répondu…