Rascal aime les mots autant que les images. Ses « histoires simples » visent à l’épure, et aussi à la flèche qui décoche. En une page, nous plongeons dans un univers plus ou moins familier, nous faisons connaissance avec des personnages et nous assistons à la chute brutale d’une situation. Le mécanisme de la nouvelle est utilisé à plein, tandis que l’unique image accompagne plus…