Le masque, c’est la face trouble et troublante de l’inconnu, c’est le sourire du mensonge, c’est l’âme même de la perversité qui sait corrompre en terrifiant ; c’est la luxure pimentée de la peur, l’angoissant et délicieux aléa de ce défi jeté à la curiosité des sens : « Est-elle laide ? est-il beau ? est-il jeune ? est-elle vieille ? » C’est la galanterie assaisonnée de macabre et relevée, qui sait ? d’une pointe d’ignoble et d’un goût de sang ; car où finira l’aventure ? dans un garni ou dans l’hôtel d’une grande demi-mondaine, à la Préfecture peut-être, car les voleurs se cachent aussi pour commettre leurs coups, et, avec leurs sollicitants et terribles faux visages, les masques sont aussi bien de coupe-gorge que de cimetière : il y a en eux du tire-laine, de la fille de joie et du revenant. «
Dans un village dévasté par la guerre et dont les uniques survivantes sont des femmes, un sacrifice se prépare.…
Un conte de Noël dans la tradition de Dickens. C'est l'hiver, il neige, et le pauvre loup a faim. Alors il croque, croque tout…
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