Hell School (tome 2) : Orphelins

À PROPOS DES AUTEURS
Vincent Dugomier

Auteur de Hell School (tome 2) : Orphelins

De son vrai nom, Vincent Lodewick, est né à Uccle le 20 août 1964, est un auteur belge de bandes dessinées.
Benoit Ers

Illustrateur de Hell School (tome 2) : Orphelins

Déjà tout petit, Benoît Ers dessinait dans ses cahiers d’écolier. À 17 ans, il remporte le concours scolaire de BD à Angoulême. Après sa formation à l’école des Beaux-Arts d’Épinal, il reçoit une proposition de Marsu Productions, chez qui il travaille pendant six mois, ce qui lui permet de s’installer à Liège comme illustrateur indépendant, et de commencer à dessiner pour le magazine Spirou. Un début de carrière plutôt facile et prometteur pour ce jeune auteur, qui rencontre très vite son complice avec qui il va collaborer pendant des années, Vincent Dugomier. À deux, ils créent Muriel et Boulon au Lombard, puis s’engagent sur la piste des Démons d’Alexia (Dupuis) ou encore Hell School (Le Lombard). Une belle collaboration, qui fait dire à Benoît Ers : « J’ai fait le scénariste qu’il est, et il a fait le dessinateur que je suis. » et se confirme en 2015 avec Les Enfants de la Résistance.

AVIS D'UTILISATEURS

FIRST:xfirstword - "Hell School (tome 2) : Orphelins"
stdClass Object ( [audiences] => [domains] => Array ( [0] => 9208 ) )

Ceci pourrait également vous intéresser...

Klimt

Vienne, 1907. Le peintre Gustav Klimt rend visite aux époux Bloch-Bauer. Ferdinand demande alors à Gustav de réaliser le portrait de sa femme, Adèle ; requête entraînant un flashback. Six ans auparavant, alors que Klimt essuyait des critiques acerbes au sujet de son œuvre La Médecine , il a rencontré ce couple, admirateur de son génie et dont la femme l’a prié de lui ouvrir les portes de son atelier. Au même moment, l’artiste recevait en rêve l’inspiration pour son prochain tableau. C’est par ce prisme que l’on entre dans l’univers de l’artiste : son atelier, ses modèles, sa mère, sa compagne, Émilie, mais aussi ses rêves, ses angoisses, ses sources d’inspiration en somme. L’histoire narrée en bande dessinée par Cornette et Marc-Renier est une tranche de vie, prétexte à l’évocation du peintre, de son style, de son époque et de l’avant-gardisme dont il y faisait preuve. L’idée est en effet plus de mettre en avant ses particularités que de réaliser sa biographie. Le récit est assez simple et aurait peu d’intérêt sans l’aspect « inspiré de faits réels », mais n’en est pas moins cohérent et bien rythmé.Les dessins sont soigneusement détaillés. Le rendu est classique, avec un crayonné assez fort accentuant les sujets principaux. Les travaux de Klimt évoqués sont réinterprétés plutôt que cités et le résultat est réussi et efficace : le redesign des œuvres permet une intégration fluide dans les cases tout en invitant à les découvrir sous un angle neuf.Le récit principal est suivi d’un court cahier didactique sur Gustav Klimt. Il complète la bande dessinée en développant quelques sujets qu’elle évoque. On y voit notamment des reproductions des œuvres évoquées dans l’album. Ainsi, le lecteur a à portée de main de quoi satisfaire sa curiosité, titillée par l’histoire racontée en images et phylactères.La bande dessinée Klimt est une introduction sympathique à l’œuvre de l’artiste. Les connaisseurs n’apprendront probablement pas grand-chose, là où les néophytes apprécieront l’accessibilité du propos et les informations proposées en fin d’ouvrage. Les visuels soignés plairont aux amateurs de bande dessinée traditionnelle, alors que l’histoire…