Elles sont bringuebalées par les hasards de la vie, par des rencontres improbables, par des doutes salutaires, par le souffle d’un vent inattendu, redouté ou inespéré. Elles roulent sur leur chemin, se bousculent parfois, s’incrustent ou s’envolent ou se perdent dans les fossés des bas-côtés. Elles s’agitent souvent et laissent apparaître leurs hésitations, leurs forces et leurs faiblesses. Un jour ou l’autre, nous sommes tous des « Grenailles errantes »…
Auteur de Grenailles errantes
« Et puis sans crier gare », quelque chose survient, là, dans le cours de l’existence, quelque chose comme une aspiration au voyage, une arrivée surprise, une brisure dans le quotidien, dans la fuite des jours comme ils sont et s’en vont. Une perturbation qui remet les pendules à l’heure ou les dérègle pour longtemps. À tout jamais ? Quelque chose qui réjouit, inquiète ; qui met à mal, à bien ; qui emporte au bout de l’autoroute, face à la mer, en compagnie de deux jeunes autostoppeurs opportunément chanteurs, ou qui ramène à la ville, parce qu’un être du règne animal brait toutes les nuits et empêche le sommeil de s’installer dans la maison de campagne tant souhaitée, tant transformée pour ressembler aux fantasmes (stéréotypes) d’un repos sûrement…
8 mai 2019. Une utopie de politique-fiction, où la ville de Bruxelles a été choisie par les…
Le vin, les vignobles forment souvent les lignes de crête de nos civilisations…