Si vous saviez, Giselle, combien vous êtes un exemple pour moi. Je vous ai vue et vous n’étiez ni victime, ni erreur de la nature.Je vous ai vu vivre en faisant fi du regard des autres.
Êtes-vous toujours en vie ce jour ?
Si oui, je vous souhaite totalement accomplie.
Et je vous rêve chantant comme une diva « I’Am Wat I’Am » de Jerry Herman.
Et si non, alors tout comme la Giselle du ballet, je suis certaine que votre esprit danse du côté de la Bourse, et qu’il sauve bien des gens de leur entêtement à ne pas accepter les différences.
En écrivant ce texte, en vous donnant une parole et en m’autorisant d’imaginer vos tourments et vos joies, j’ai voulu vous rendre hommage.
Parce que je suis certaine que vous êtes de celles qui peuvent faire changer les mentalités.
Auteur de Giselle
Le rythme du tram, c’est le rythme du récit pendant lequel Déborah réfléchit. À Knokke, après…