Gaumaiseries | Objectif plumes

Gaumaiseries

RÉSUMÉ

Essai, dans lequel Joseph Michel, ancien conseiller communal de Virton se promène avec délices dans l’histoire des cinquante dernières années de sa ville. Il décrit les événements politiques, folkloriques et sociaux avec un brin d’humour et de critique, n’excluant pas son examen de conscience.Comme d’habitude, il se veut chroniqueur et observateur de son temps.

   lire la suite sur   Service du Livre Luxembourgeois
À PROPOS DE L'AUTEUR
Joseph MICHEL

Auteur de Gaumaiseries

Joseph Michel est né à Saint-Mard en 1925. Il est de Gaume, de ce morceau de territoire embrassé par l'Ardenne toute proche et la Lorraine française.Ce fils d'ouvrier (son père était maçon) n'aurait jamais voulu quitter sa Gaume comme il aime à le rappeler en utilisant avec élégance le dialecte de ses ancêtres. Il est marié et père de cinq enfants. Il aime à proclamer Plus jamais sans ma femme au sujet de celle qui fut ma compagne et ma confidente dès le moment où je mis le pied dans l'étrier de la vie publique...Joseph Michel habite à Virton. C'est à Virton, au collège Saint-Joseph (l'actuel collège Notre-Dame du Bonlieu) qu'il a fait ses humanités gréco-latines. Il poursuit ses études à l'U. C. L. où il obtient le diplôme de licencié en Sciences économiques et Notariat et le grade de Docteur en Droit. Il est également bachelier en philosophie thomiste. Pour ce faire, il a soutenu une thèse relative au système théologique et philosophique de Saint-Thomas d'Aquin (13e siècle) qui prône une harmonie entre la foi et la raison. Enfin, il reçoit un diplôme de l'Université de Trèves.Devenu avocat, il continue à exercer. Il est élu Doyen de l'Ordre national des Avocats. Dès la fin de son service militaire, il est engagé dans le cabinet d'un bâtonnier et dès lors commence son activité professionnelle proprement dite. C'est aussi à ce moment que débute sa vie politique. En effet, dans le train qui le mène de Saint-Mard à Arlon, on lui pose des questions d'ordre judiciaire et, comme il l'écrit on ne pourrait mieux préparer la permanence du futur parlementaire.L'homme gravit bientôt les échelons qui feront de lui un personnage important au service de la société. Il sera désigné comme homme politique de l'année 1975.D'où viennent cette alliance d'un sens aigu de la relativité et d'un tempérament manifestement têtu, ce mélange d'un caractère volontaire et d'une absence d'agressivité, cette personnalité complexe d'un homme qui, dit-il, ne tolère pas qu'on lui impose des idées, mais assure qu'il faut avoir l'esprit suffisamment large pour savoir concilier des thèses opposées ... C'est un phénomène qui apparaît dès le début de sa carrière chez ce bûcheur qui ne sait ce que loisir veut dire. Ce fils de maçon voulait devenir rédacteur aux chemins de fer; on l'envoie à l'Université de Louvain (U. C .L.) et il en sort bardé de diplômes... (La Libre Belgique, extrait, in La grande époque).

AVIS D'UTILISATEURS

FIRST:xfirstword - "Gaumaiseries"
stdClass Object ( [audiences] => [domains] => Array ( [0] => 9174 ) )

Ceci pourrait également vous intéresser...

Ni pardon, ni talion : la question de l'impunité dans les crimes contre l'humanité

Une analyse critique de la justice en matière de crime contre l'humanité. Selon l'auteur, à la fois nécessaires et insuffisantes, les institutions judiciaires ne peuvent être que le point de départ d'une lutte plus vaste contre la barbarie universelle, fondée sur un consensus sur le droit de l'être humain, une éducation…

Une revue catholique au tournant du siècle : Durendal 1894-1919

À propos du livre (texte de l'Introduction) Lorsqu'on parcourt une histoire de la littérature belge de langue française, le chapitre consacré à cette époque particulièrement florissante, qui va de 1880 à la première guerre mondiale, frappe par l'éclosion soudaine de revues littéraires qui suivirent l'exemple de la Jeune Belgique. Dans la liste de ces revues plus ou moins éphémères, l'attention est attirée par la longévité surprenante de l'une d'elles, Durendal, revue catholique d'art et de littérature . Ce mensuel catholique parut pendant vingt ans, de 1894 à 1914, alors que la Jeune Belgique ne sortit de presse que durant seize années et que la Wallonie disparut au bout de sept ans. Quelle recette a donc permis à Durendal de garder si long-temps ses lecteurs? Et une seconde question vient à l'esprit : à quoi pouvait bien s'intéresser une revue littéraire catholique à un moment où la littérature catholique semble inexistante? Qui a fondé Durendal ? Quels étaient ses objectifs? Autant de questions sur lesquelles bien peu de critiques ou d'historiens littéraires se sont penchés. En faut-il davantage pour désirer examiner avec un peu d'attention cette revue et la sortir de l'oubli, comme ce fut fait autrefois pour la Jeune Belgique et la Wallonie ? C'est ce que nous allons essayer de faire : rechercher les origines de la revue, découvrir son but, analyser la manière dont elle l'atteignit et les raisons qui la maintinrent en vie au-delà de la durée moyenne d'existence des revues littéraires belges. Ce travail ne se veut pas exhaustif: beaucoup d'aspects devront malheureusement rester ignorés, principalement certains problèmes plus particulièrement artistiques qui sortent de nos compétences par leur caractère trop technique. Nous ne proposerons pas non plus, dans chaque chapitre, un relevé détaillé de tous les articles parus dans Durendal et traitant du sujet mais seulement les extraits les plus significatifs. La présentation typographique de la revue, son illustration de plus en plus abondante et le sommaire de chaque numéro ne nous paraissent pas mériter de longs développements. Il suffit de savoir qu'en 1894 chaque numéro comptait vingt pages, tandis que ce nombre…