Faut-il dire la vérité aux éléphants ?

RÉSUMÉ

Depuis quelques années, entre deux courts poèmes, pour se rincer l’esprit, Karel Logist écrit de petites phrases, de brèves réflexions sur le monde qui l’entoure, sur ses contemporains, des fragments empreints d’humour, de philosophie, d’amertume, parfois.

Ces textes rencontrent un indéniable succès sur les réseaux sociaux.

Aux aguets, l’éditeur d’aphorismes propose alors au poète de le publier…

À PROPOS DE L'AUTEUR
Karel Logist

Auteur de Faut-il dire la vérité aux éléphants ?

Je suis un amateur de mots, un musicien de la corde raide, un saltimbanque de l’écriture. Je vais depuis trente ans de poème en poème, comme de liane en liane, sans pour autant trouver la branche sur laquelle m’asseoir et me mettre à scier ou à simplement contempler le bel horizon. Je suis né en 1962 à Spa, en Belgique francophone, d’une mère allemande et d’un père flamand. Depuis mon premier recueil «Le séismographe», en 1988, j’ai publié une douzaine de titres. J’ai eu la chance de voir plusieurs de mes livres primés, en Belgique comme à l’étranger. Documentaliste à l'Université de Liège depuis vingt ans, je mêle à l'écriture de mes carnets de doute, en prose comme en vers, l'air et l'écho du temps qui passe. Je suis également critique littéraire et animateur d'ateliers d'écriture. Parce que j’aime aussi le mouvement, la rencontre et les écrivains, je coanime à Liège l'association littéraire Le Fram. Dernièrement, l'éditeur Le Castor Astral, à Bordeaux, a publié «Tout emporter», une anthologie personnelle de mes poèmes. Bien que ce n’en soit pas un, j’ai ressenti ce livre comme un bilan et comme le commandement de me renouveler. Je prends du plaisir avec beaucoup de choses : la poésie des autres, la mer, le rock, la nuit et ses rumeurs, le hasard et ses couleurs… J’ai fait des livres et des études, un enfant et beaucoup de rencontres, des promesses et nombre de mensonges, autant de vaines tentatives de m’approcher de ma vérité. Peut-être suis-je un mot sur la feuille qui cache un arbre qui cache la forêt ? Et peut-être qu’au fond, je n’écris pas vraiment, que des mots me traversent et me demandent l’hospitalité. Et si je suis poète, c’est parce que je ne dis jamais non.    
NOS EXPERTS EN PARLENT...
Le Carnet et les Instants

Les prolifiques éditions du Cactus inébranlable s’enrichissent d’un troisième titre de Jean-Loup Nollomont et d’un premier du poète Karel Logist, pris d’aphorismes.Le vaccin contre la connerie rencontrerait une forte opposition.L’auteur s’explique dans un échange d’emails : « il m’arrive souvent, au détour d’une lecture, de repérer ces petites phrases qui sont comme une respiration, une pause fulgurante, dans un texte dense.  On a coutume d’appeler cela des aphorismes mais se sont aussi des punchlines qui dynamisent (ou dynamitent) le propos de l’auteur et qui font sortir son lecteur de sa zone de confort… Ces courtes phrases que j’espionne — inscriptions, syllogismes, décoctions, maximes — peu m’importe le terme, sont…


AVIS D'UTILISATEURS

FIRST:xfirstword - "Faut-il dire la vérité aux éléphants ?"
stdClass Object ( [audiences] => [domains] => Array ( [0] => 9176 ) )

Ceci pourrait également vous intéresser...

Fatras d'amour

Recueil de poésie où l'amour, sauf peut-être l'Amour divin, engendre souvent la tristesse.

Portrait craché

Un homme, vieillissant et atteint de paralysie faciale, trouve dans la littérature…

La corne de brume

Ce receuil apparaît comme une sorte de testament poétique. Un espoir l'emporte sur…