« Hilde et son fils, tante Wivine, oncle Wolfram, tous ces êtres tenaient de l’étrange. J’avais l’impression d’habiter un monde autre. Le vent dans les feuilles, l’haleine des vallons, l’immuabilité de la nuit, l’odeur même du burg, rien dans tout cela ne ressemblait à ce que j’avais connu jusque-là ».
Sous le prétexte de conter la vie douce et pieuse d'un groupe de parents et d'amis, l'auteur…