Quatorze nouvelles écrites « sous Facebook » comme aime à le dire leur auteur, Éric Neirynck.
Il s’est librement inspiré du fameux réseau social. Ces nouvelles ont pris leurs sources dans les différents statuts, articles, commentaires et réactions publiés sur son réseau d’« amis ».
Mais ces petits textes vont au-delà de Facebook, ils sont de véritables vignettes de la vie.
Auteur de Facebook, mon amour !
Éric Neirynck est né en 1970 à Bruxelles en Belgique. Après des études longues et difficiles et une formation incomplète de comédien, il a toujours cherché à exprimer ses sentiments, que ce soit par la musique (quelques participations à différents groupes dans les années 80) ou le théâtre. Il a fini par rencontrer l’écriture, de façon confidentielle et solitaire comme d’autres rencontrent le chant seul sous la douche. Ce n’est qu’après presque 25 ans qu’il a osé partager ses écrits avec d'autres. Ses premières « victimes » furent ses « amis » de Facebook.
Le 12 mars 2011, il a été invité à participer au colloque sur la genèse de l'autofiction organisé à l'ENS, Paris, avec Isabelle Grell, Serge Doubrovsky, Claire Fercak, Camille Laurens, Philippe Forrest entre autres.
Ni pardon, ni talion : la question de l'impunité dans les crimes contre l'humanité
Une analyse critique de la justice en matière de crime contre l'humanité. Selon l'auteur, à la fois nécessaires et insuffisantes, les institutions judiciaires ne peuvent être que le point de départ d'une lutte plus vaste contre la barbarie universelle, fondée sur un consensus sur le droit de l'être humain, une éducation…