Quatorze nouvelles écrites « sous Facebook » comme aime à le dire leur auteur, Éric Neirynck.
Il s’est librement inspiré du fameux réseau social. Ces nouvelles ont pris leurs sources dans les différents statuts, articles, commentaires et réactions publiés sur son réseau d’« amis ».
Mais ces petits textes vont au-delà de Facebook, ils sont de véritables vignettes de la vie.
Auteur de Facebook, mon amour !
Éric Neirynck est né en 1970 à Bruxelles en Belgique. Après des études longues et difficiles et une formation incomplète de comédien, il a toujours cherché à exprimer ses sentiments, que ce soit par la musique (quelques participations à différents groupes dans les années 80) ou le théâtre. Il a fini par rencontrer l’écriture, de façon confidentielle et solitaire comme d’autres rencontrent le chant seul sous la douche. Ce n’est qu’après presque 25 ans qu’il a osé partager ses écrits avec d'autres. Ses premières « victimes » furent ses « amis » de Facebook.
Le 12 mars 2011, il a été invité à participer au colloque sur la genèse de l'autofiction organisé à l'ENS, Paris, avec Isabelle Grell, Serge Doubrovsky, Claire Fercak, Camille Laurens, Philippe Forrest entre autres.
Charlemagne et les 4 Fils Aymon
Alard, Renaud, Guichard et Richardet, tous les quatre fils du duc Aymon, se sont révoltés contre Charlemagne. Pendant plusieurs années, une traque opérée par les guerriers du roi mène les fils Aymon de l'Ardenne à la Gascogne où sièges et embuscades, fuites et poursuites, se succèdent à un rythme palpitant. Finalement, las de ces combats, les quatre frères se réconcilient avec Charlemagne. Mais n'allez pas croire qu'ils ont tenu tête au roi uniquement grâce à leur vaillance. Leur cousin, Maugis l'enchanteur, Bayard, un cheval-fée capable d'accomplir des sauts prodigieux, et Flamberge, une épée magique, leur seront de précieux auxiliaires.Une des plus belles épopées de France, digne des meilleurs romans arthuriens, racontée par Jean-Luc Duvivier de Fortemps, écrivain de la forêt d'Ardenne, et magnifiquement illustrée par le photographe paysagiste Benjamin Stassen.…
"Un beau livre, sobre, vif, qui rend tangibles les saisons et les heures. Les illustrations d’Anne Leloup devancent ou suivent le poème avec la force sereine des empreintes." Critique de Françoise Lison dans Le courrier de l’Escaut paru en octobre 1999. Extrait : "A force de se chercher de se trouver de se perdre de rouvrir le sentier des rencontres de déplorer les malentendus les impasses de célébrer les retrouvailles ils déboucheront dans la clarté sans fin" [Source : Le site des éditions…
C'est l'heure de la sieste et Ariane joue dans le jardin avec ses animaux en peluche. Tout à coup ils…