Fabienne Verdier : Les formes de l’invisible | Objectif plumes

Fabienne Verdier : Les formes de l’invisible

RÉSUMÉ

Pour celui qui cherche, l’expérience fait sens, et ce sens n’est jamais achevé.

Depuis son long séjour initiatique en Chine dans les années 1980, Fabienne Verdier s’ est imposée comme une figure majeure de la scène artistique internationale en réconciliant les traditions occidentales et orientales.
Pendant plusieurs mois, Stéphane Lambert a fréquenté son atelier. Il témoigne de l’innovation et de la cohérence de sa création, et poursuit ainsi sa propre réflexion sur l’art, profonde et sensible.

À PROPOS DE L'AUTEUR
Stéphane Lambert

Auteur de Fabienne Verdier : Les formes de l’invisible

Né en 1974, Stéphane Lambert a étudié les langues et les littératures romanes à l'Université Libre de Bruxelles. En 1998, il a animé en périphérie bruxelloise des rencontres littéraires qui sont devenues un livre d’entretiens avec 17 auteurs belges et français (Amélie Nothomb, Olivier Rolin, René de Ceccatty, Pierre Mertens…), Les Rencontres du mercredi. Aux débuts des années 2000, il a été très actif sur la scène littéraire belge en tant qu’éditeur : en 1999, il a contribué au lancement d’une collection de livres de poche (Ancrage) et, en 2001, il a cofondé le Grand Miroir, une collection de littérature contemporaine. Entre 2000 et 2013, il a collaboré régulièrement à la presse écrite belge (La Libre Belgique, L’Éventail…), où il réalisait des portraits et des entretiens dans le domaine culturel. Il a enseigné à l’Université Charles à Prague et a été responsable de la programmation francophone à Passa Porta, la maison internationale des littératures à Bruxelles. Dans ses livres, il a développé une veine d’inspiration autobiographique. Il a été primé à deux reprises par l’Académie Royale de langue et de littérature françaises de Belgique (prix Lucien Malpertuis, prix Franz De Wever) et a obtenu le prix Rossel pour son récit L’Apocalypse heureuse (Arléa, 2022), adapté ensuite au théâtre des Martyrs (2024). Interpellé par le processus de création, Stéphane Lambert a consacré une série de récits à des artistes majeurs (Staël, Rothko, Klee, Monet, Spilliaert, Van Gogh, Friedrich, Goya), publiés principalement aux éditions Arléa, qui lui ont valu le prix Roland de Jouvenel de l’Académie Française (2017) et le prix André Malraux de l’essai sur l’art (2019). Il a publié une monographie de référence sur Nicolas de Staël aux éditions Gallimard (2023) et cosigné un documentaire sur le peintre pour Arte. Il a écrit le texte de catalogues d’artistes contemporains (Fabienne Verdier, Michel Mouffe, Gérard Traquandi) et signé des fictions et documentaires pour France Culture. Depuis le début des années 2020, il collabore à la presse culturelle française (Beaux-Arts Magazine, Revue des deux mondes). En 2025, il a participé au lancement de la collection Pop-Art chez Gallimard avec un titre sur Van Gogh.
NOS EXPERTS EN PARLENT...
Le Carnet et les Instants

Stéphane LAMBERT, Fabienne Verdier. Les formes de l’invisible, Arléa, coll. « La rencontre », 2025, 96 p., 16 €, ISBN : 978-2-36308-424-8Stéphane Lambert n’écrit pas sur la peinture, mais depuis elle, en elle, à partir de l’intensité d’une rencontre dont il n’entend pas étouffer le mystère sous des grilles théoriques rendant inerte le geste de création. Dans son éblouissant essai, Fabienne Verdier. Les formes de l’invisible, il retrace au fil d’une pensée devenue pinceau l’aventure picturale frayée par Fabienne Verdier, une figure centrale du paysage artistique contemporain. La porte entre le monde de l’Orient et celui de l’Occident que la peintre a ouverte depuis son long séjour initiatique en Chine…


AVIS D'UTILISATEURS

FIRST:xfirstword - "Fabienne Verdier : Les formes de l’invisible"
stdClass Object ( [audiences] => [domains] => Array ( [0] => 9174 ) )