On y entre comme dans une forteresse, attiré par une odeur de brulé et de fête. Pas d’églises, pas de banques. Le quartier historique d’Exarcheïa dérive au milieu de la mer de béton Athénienne, chahuté par ses courants révolutionnaires. Dans des artères trop étroites, ses habitants rient et se perdent, se faufilant en eaux troubles tels des poissons de nuit.
Auteur de Exarcheïa. L’Orange amère
Illustrateur de Exarcheïa. L’Orange amère
Un album de dessins de presse humoristiques aux idées qui appuient là où ça fait rigoler et pas où ça fait mal (ce qui reste le…
Le Chat caresse aujourd'hui le lecteur dans le sens du poil, avec une offre des plus…