Il ne faut pas attendre, ni même chercher à surprendre l’évidence intermédiaire. Elle se faufile, s’envisage par contumace, elle s’ajuste, mais n’affranchit rien ni n’efface. Elle demeure l’auxiliaire d’un soupçon, au même titre que le présent s’éparpille dans le tamis de nos époques lointaines, que la promesse semble toujours trouble, que l’inquiétude chuchote. Aventure des valeurs ignorantes de l’arbitrage des saisons.
Elle se déplace sans laisser d’ombre, indécise et d’ivresse heureuse, elle ne pose aucun obstacle aux accomplissements, sinon celui de sa fable.
Préface de Philippe Jones À propos du livre Mélot du Dy, né à Bruxelles en 1891, mort à Rixensart en 1956,…
« La poésie est comme la philosophie – ou devrait au moins faire comme elle,…