Auteur et illustrateur de Ernest et Célestine : Rataplan plan plan
Réédition- Pour qu'Ernest joue avec elle, Célestine fait des pieds et des mains, avec des couvercles de casserole ! Ernest prendra le pas en allant chercher des tambours et c'est comme une grande fanfare qui prend naissance sous nos yeux pour se terminer par le meilleur des chocolats chauds: celui d'Ernest bien entendu ! C'est toujours un réel bonheur de se replonger dans les oeuvres de Gabrielle…
Aujourd'hui, rien ne va plus. La maman de Tom pleure et son papa rentre très tôt à la maison... Petit à petit, Tom comprend ce bouleversement : son grand-père est mort. Ils partent voir Grand-Mère. Ce n'est pas Noël, ce n'est pas dimanche, et pourtant, toute la famille est réunie. Avec ses cousins, Tom va jouer dans le jardin et devant la brouette, ils décident de faire un énorme tas de feuilles... comme avec Grand-Père ! Aujourd'hui rien ne va plus. La maman de Tom pleure et son papa rentre très tôt. Petit à petit, Tom comprend ce bouleversement : son grand-père est mort. Ce n'est pas Noël, ce n'est pas dimanche, et pourtant, toute la famille est réunie. Avec ses cousins, Tom va jouer dans le jardin et devant la brouette, ils décident de faire un énorme tas de feuilles…comme lorsqu’ils étaient avec Grand-Père. Ce petit album évoque avec précision…
Un énorme escargot est entré dans notre maison. Mes parents m'ayant toujours refusé un chiot, je les ai suppliés de le garder. Il était une fois un gros escargot. Gros taille labrador. De fait, le petit garçon qui le trouve dans sa maison plaide auprès de ses parents pour le garder en tant qu’animal domestique. Il s’appellera Francis. Ce sont alors des jeux au jardin (et des plates-bandes avalées), de la salade pour tous en entrée, une chambre occupée au sol (le lit) et au plafond (le pied de l’escargot)… Le lendemain matin, deux très gros escargots arrivent - taille petite voiture -. Ce sont les parents de Francis. Les deux familles se séparent, sans un mot évidemment. Mais les parents du jeune humain ont réfléchi et offrent alors un chien à leur fils… (on notera que ce teckel est plus petit que l’escargot, d’ailleurs). Tout est dans le dessin. Mais tout est dans l’histoire aussi. Rarement la synergie entre texte et image aura aussi bien fonctionné, sur le mode ici d’un absurde captivant. Racontée avec un flegme absolu, l’intrigue surréaliste est accompagnée brillamment par des illustrations en peinture de type elles hyperréalistes, complètement et faussement sérieuses. Seule la toute fin, espèce de pirouette de vocabulaire, semblera un peu faible. A lire dans un éclat de rire intelligent.…