Éloge de la pince à linge




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La pince à linge dont il est question dans les aquarelles de Roger Dewint n’est pas d’un plastique coloré ni d’un métal inoxydable ; elle est d’un bois plutôt brun clair (dans une gamme de couleurs se déployant du beige jaunâtre au gris terne), tendrement enserré et mordu par un ressort conférant à la fois unité et mobilité à ses deux bâtonnets façonnés. C’est celle qui est abandonnée sur un fil ou qui se repose au fond d’un seau après avoir rempli sa fonction de fixation ; celle qui obture les narines d’un personnage de bande dessinée face à une odeur intolérable ; celle qui se colle dos à dos avec ses copines et termine en sous-plat de « fête des pères » ou en bricolage plus élaboré à la façon François Pignon. C’est celle-là que l’on retrouve…


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