Ces auteurs pratiquent la prose ou la poésie et, pour la plupart, usent d’une variété locale d’ouest-wallon. C’est d’ailleurs un souci de tous ceux qui fréquentent l’ALWaC que de respecter, tant que faire se peut, ces variantes locales qui font la richesse de la langue wallonne. Chacun de ces cinquante auteurs dispose de deux pages; l’une est réservée à l’original de l’oeuvre et l’autre, faisant face, à une traduction française qui se veut la plus proche possible de cet original. En fin de volume, de courtes bio-bibliographies concernant ces écrivains permettent de mieux les situer. Cinquante auteurs – le hasard fait bien les choses – qui se servent du wallon comme outil d’expression, voilà une chose rassurante à une époque où cette langue s’entend de moins en moins. C’est une réalité d’Albert Maquet, assertion paradoxale pour certains et qui constitue également le titre de sa préface, « Le wallon sauvé par sa littérature ».
Recueil de poésie inspiré par les choses simples de la vie. Les petits bonheurs quotidiens…