Et si la littérature retrouvait la voie de la politique, ou l’inverse ?
C’est là toute la quête d’un personnage hors du commun qui se distingue par un physique exceptionnel…
Sur sa route il croisera Mitterrand et l’écrivain JB, l’énigmatique Philippe, un professeur de lycée passionné, et même un certain De Gaulle, bien loin des représentations habituelles de l’Histoire.
Une maison d’écrivain en Bourgogne, une autre perdue au milieu des bois, une histoire d’amour, l’arrière-salle de café où se refait le monde, une exploration inédite de la différence… traversent ce roman singulier, qui consacre, à nouveau, ceux que notre siècle a rangés au magasin des accessoires et qu’on appelait les écrivains.
Auteur de Dommage qu’elle soit si grosse…
Claude Froidmont est né en 1961 à Rocourt, près de Liège. Romaniste de formation, il vit, aujourd’hui, en Gironde, où il enseigne les « Lettres ».
Il a publié Chez Mauriac à Malagar aux Impressions Nouvelles et Perversus ou l’hisoire d’un imprimeur liégeois au temps des lumières chez Weyrich.
Bernard est obèse, adipeux, gorgé de graisse, « comme un énorme beignet trempant dans son huile avant d’être abondamment sucré dans l’assiette ». Cette caractéristique physique s’est imposée à lui dès son enfance, a été gonflée par les soins culinaires maternels, a nourri les moqueries de ses camarades de classe et les regards avides des inconnus, a englouti ses velléités de se frotter au monde. La réclusion s’est rapidement profilée comme le salut possible, entre les murs de sa chambre du vivant de ses parents d’abord, dans une maison au milieu des arbres (dont la boîte aux lettres se situe à un kilomètre, toujours parcouru en quad) ensuite. À l’abri, il s’adonne à ses péchés mignons : la nourriture, en chair et en lettres. Car le narrateur…
Le nouveau livre de Paul Colize est un polar bien belge, qui se passe à Bruxelles,…
Un hôpital qui s'écroule, un rapport d'expert qui se perd, une disparition inquiétante, des amours qui se nouent…