Dis papa, pourquoi les zèbres ne font-ils pas de patin à roulettes ?



À PROPOS DE L'AUTEUR
Quentin Gréban
Auteur et illustrateur de Dis papa, pourquoi les zèbres ne font-ils pas de patin à roulettes ?

Né le 25 mars 1977 à Bruxelles

Illustration, Saint-Luc, Bruxelles

Mes dessins sont toujours inspirés d'une idée graphique. Une ombre intéressante, un tissu à motifs et c'est le départ d'une nouvelle image. Je travaille à l’aquarelle sur un croquis au crayon. Sélectionné en 1999, 2000 et 2009 pour figurer dans l'Annual de Bologne publié par Nord-Sud Lauréat d’une Bourse de la Fédération Wallonie-Bruxelles - Aide au projet, 2008


NOS EXPERTS EN PARLENT...
Ricochet

Réédition dans la collection « Les petits Mijade », dans un album plus petit format et couverture souple de cet ouvrage paru en 2006.Un album plein d’humour et d’imagination, autour de l’univers d’une petite fille et des animaux. Ici l’enfant pose une série de question à l’adulte : pourquoi les moustiques ne vont pas chez le vétérinaire, pourquoi les loups ne jouent pas à saute-mouton,…


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Un jour, Monsieur Picaillon, l’homme le plus riche de la ville, perdit la clé de son coffre. Ce même jour, Basile-le-fil, l’homme le plus pauvre de la ville, découvrit une chaîne avec une clé au bout... A partir de ce jour-là, leur vie à tous les deux va complètement changer: pour Mr Picaillon,sans clé, plus moyen d’ouvrir le coffre pour avoir de l’argent. Mais pour Basile, qui n’aime qu’entendre Lire la suite Monsieur Picaillon a tout et Basile-le-fil n’a rien. C’est aussi simple que cela et l’histoire joue sur ce binarisme avoir tout / ne rien avoir ; être tout / n’être rien. Dans un univers gris où l’opulence et le manque se ressemblent soit par amas de possessions soit par amas de rebuts, la bascule entre les deux personnages tient à une clef. Une clef d’or ! Comme dans les contes merveilleux, la clef est celle du trésor sous la forme peu poétique d’un coffre-fort. Evidemment, la clef perdue par l’un est retrouvée par l’autre. Le riche appauvri et le pauvre enrichi se retrouvent sur un banc. Monsieur Picaillon récupère sa clef et Basile-le-fil la rend avec soulagement. Dans un livre à l’histoire convenue, le dénouement apporte une originalité. Contrairement à la majorité des contes, il n’y a pas de fin heureuse et les chemins des deux protagonistes se séparent sans modification aucune des comportements ni de l’un ni de l’autre. Basile-le-fil poursuit son chemin, heureux sous son parapluie et Monsieur Picaillon conserve et protège sa maison. En dépit de signe d’adieu empathique de Monsieur Picaillon, seuls les animaux, chat et chien, semblent regretter leur éloignement. Les personnages de la fable, le capitaliste à redingote et haut de forme, le pauvre avec son allure de randonneur scout semblent caricaturaux. La morale quant à elle traduit un état de fait « hélas, tout le monde sait que ceux qui ont tout regardent rarement ceux qui n’ont rien ». Cet album manque d’élan pour engager les enfants à réfléchir et chacun engagé dans sa voie y reste puisque même le hasard n’amène pas de modification. Le message véhiculé contredit les intentions de l’auteure. Danielle Bertrand…

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