Habituellement – en quatrième de couverture de ses livres notamment – David Berliner se présente comme anthropologue et professeur à l’Université de Bruxelles, auteur de plusieurs livres dont Perdre sa culture, ici salué. Dans son dernier ouvrage, il se formule ainsi : « Européen, Belge, Bruxellois, francophone, Juif d’origine ashkénaze, agnostique et héritier des traumas de la Shoa, un quarantenaire de la classe moyenne, un anthropologue qui a séjourné longuement en Afrique de l’Ouest et en Asie du Sud-Est, un enseignant, un père, un conjoint », etc. Et aussi, il révèle qu’il est : Derek Moss, un « juif névrosé, une sorte de double européen de Nathan Zukerman (sic) » (alter ego fictif de Philip Roth), auteur notamment…
Créer en postcolonie. 2010-2015, Voix et dissidences belgo-congolaises
Depuis plusieurs années, les recherches scientifiques et les projets muséographiques…