Deux fauteuils au balcon

RÉSUMÉ

Vincent, longtemps absent, voit vieillir sa mère au rythme des visites qu’il lui rend assidûment avant une grave opération qu’elle doit subir. Leurs souvenirs se mêlent aux évènements cocasses, émouvants, magiques de l’existence quotidienne, et aux questions que Vincent se pose sur sa propre vie et les relations qu’il a eues avec ses parents. Assis au balcon de l’appartement qu’elle occupe maintenant en ville, la vieille dame et son fils assistent au passage des saisons et au spectacle du monde en prenant toute la mesure des liens qui les unissent.

NOS EXPERTS EN PARLENT...
Le Carnet et les Instants

La famille a la cote en littérature ces derniers temps. Elle y apparaît souvent toxique, source de violences et de dysfonctionnements. Voici un récit qu’on imagine autobiographique, tout en douceur et en empathie, sur la présence offerte par un fils à sa mère devenue veuve. Un roman qui se déroule comme une petite musique de chambre.Octogénaire, veuve, la mère du narrateur a quitté la maison familiale pour s’installer dans un appartement situé au septième étage d’un immeuble en ville. En bordure d’un fleuve, elle y a une vue qui est comme une consolation. À l’image du titre et des photographies en couverture qui sont en elles-mêmes tout un récit, le balcon où mère et fils s’installent régulièrement est devenu un phare sur l’existence, la leur et celle…


AVIS D'UTILISATEURS

FIRST:mère - "Deux fauteuils au balcon"
stdClass Object ( [audiences] => [domains] => Array ( [0] => 9548 ) )

Ceci pourrait également vous intéresser...

La colère des Mac Gregor

Dans le grenier de sa grand-mère, Nelson, un jeune écolier fort raisonnable, trouve de vieux objets abandonnés et entend soudain des voix dans sa tête. Ce sont celles de ses ancêtres paternels, les de Trieu, enfermés dans les objets à la suite d’une malédiction datant du 15ème siècle, infligée par un seigneur écossais, Roy Mac Gregor. Nelson passe beaucoup de temps à dialoguer avec sa famille et se surprend à parler avec un râteau, une assiette en faïence, un sabre ou un poêle à bois. Il garde pour lui ce secret mais, à la mort de sa grand-mère, ses parents vendent la maison et les aïeux ! Ceux-ci se retrouvent chez un antiquaire véreux de Bruxelles, qui les disperse un par un. Nelson se sent dépassé par l’énormité de la tâche à accomplir pour retrouver sa famille, il ne peut s’en ouvrir à son père, dont l’extrême émotivité l’empêche quasiment de vivre. Il fait alors la connaissance de Victoria, une vieille dame pleine d’énergie et de ressources. Ensemble, ils vont explorer la ville, à la recherche de vases, d’assiettes et autres vieilleries afin de lever la malédiction qui pèse sur la famille et de faire en sorte que les ancêtres de Nelson puissent enfin reposer en paix. Après Bjorn le Morphir, roman de fantasy humoristique récemment adapté en bande dessinée, Thomas Lavachery publie son deuxième roman, qu’il a écrit pendant deux ans avec une classe de CM1/CM2 d’une école de Bruxelles. Le résultat est amusant, l’écriture est enlevée, les dialogues savoureux et l’idée de départ originale. A côté de la quête opiniâtre de Nelson, il y a aussi l’évocation de sa vie quotidienne et de ses relations avec ses parents, notamment avec ce père si fragile, que Nelson veut préserver à tout prix. Ce garçon est fort malgré son âge et sa quête donne de la force à ceux qu’il aime. C’est aussi ce côté-là de l’histoire…

Si tu passes la rivière

François Sorrente est un jeune homme de dix-sept ans, le dernier d’une…

Des barreaux aux fenêtres

Roman Je suis un asticot, même pas une mouche. Je rêve d’être une…