Il n’est de poésie que là où la musique trouve son nid ! Il n’est de poème que là où le poète, éveillé par cette vibration particulière qui l’emplit, se voit submergé par la couleur des mots, leur éclatant sens mélodique, leur matière miroitée à la surface lisse de l’eau… la levée du jour. Dans les rêves de Carole Lewis, premier recueil publié du peintre Christophe de Fierlant, est un lac sur l’onde duquel glissent des reflets éclatants, des éclats fugaces, l’harmonique des mots. Il n’est pas de secret plus grand, plus alchimique, plus évident et hermétique à la fois : la poésie de Christophe de Fierlant, musique intérieure, touche exactement là où se niche la petite musique du cœur, du ventre et de l’esprit de qui s’en octroie l’écoute. Otto Ganz Christophe de Fierlant est passionné par les couleurs et les mots depuis l’adolescence. Après une demi-vie bien remplie faite de hauts et de bas, il choisit de ne plus faire que ce qu’il aime : peindre et écrire ! Optimiste de nature, il transforme toutes les difficultés de la vie en énergie positive. L’alliance de la peinture et de la poésie lui valent aujourd’hui une place à part dans le milieu de l’art. Christophe de Fierlant peint aussi des vêtements, principalement des vestes. Il en crée une à chaque nouvelle exposition. En plus de sa signature, il appose en bas à droite de chacune de ses peintures, l’empreinte rouge de son pouce droit. Autre signe distinctif : qu’il peigne ou qu’il écrive, il le fait toujours en musique. Rock, électro, chanson française, musiques du monde ou même classique ou jazz,… la musique l’accompagne toujours et partout dans sa recherche artistique.
