« il se peut que l’ oiseau / meure / d’un coup de poignard // et qu’ on n’aura rien vu venir / de ce geste / qui pourtant est le nôtre // de cela aussi / il faut que l’on parle //de l’ envers du décor / de la lune éclaboussée de sang //des enfants qui se noient sans visage // il le faut // laisser une chance à l’ oiseau // ne pas le tuer une seconde fois / quand déjà il agonise au bord du poème »
Auteur de Dans la solitude inachevée
Une grenade qui explose. Un bonze en torche vivante. 1963, Saigon suffoque.…