Le premier quart de l’essai que José Domingues de Almeida consacre à Conrad Detrez fera naître chez le lecteur le sentiment d’une urgence : celle de disposer enfin d’une étude complète, à la fois vivante et intellectuelle, sur l’auteur des Plumes du coq. La synthèse de ce brillant universitaire portugais nous rappelle en effet à l’évidence : le parcours du « dragueur de Dieu », si riche en questionnements, bouleversé par les ruptures qui l’émaillent, sillonné dès l’enfance par l’élaboration d’une œuvre puissante, attend encore son biographe.Detrez connaissait le Portugal, pour y avoir couvert les événements de la Révolution des œillets, et plus largement la culture lusophone continentale,…
Ecrivain belge d'expression française, L. Scutenaire était très lié avec les groupes surréalistes…
À propos du livre (4e de couverture) Les historiens contemporains des lettres françaises de Belgique…