Comment j’ai entendu une jolie fille se faire dresser par une spécialiste ; suivi de, Le jeune Gérard

À PROPOS DE L'AUTEUR
Marcel Lecomte

Auteur de Comment j’ai entendu une jolie fille se faire dresser par une spécialiste ; suivi de, Le jeune Gérard

Marcel Lecomte est né le 25 septembre 1900. En 1918, il rencontre Clément Pansaers qui lui fait découvrir le dadaïsme ainsi que le taoïsme. Il s'inscrit alors à l'Université Libre de Bruxelles pour des études préparatoires à une licence en philosophie et lettres, études qu'il abandonne en 1926.En 1922, il publie Démonstrations, aux Éditions « Ça ira » à Anvers. Au début de la même année, il rencontre René Magritte et, en 1923, Paul Nougé. Avec celui-ci et Camille Goemans, il fait partie, en 1924 et 1925, du groupe "Correspondance". Il en est congédié en juillet 1925. En 1926, il collabore au premier numéro de la revue Marie, dirigée par E. L. T. Mesens. En 1928, il retrouve Goemans, Nougé et Mesens dans la revue Distances. Marcel Lecomte entre, en 1934, comme professeur dans l'enseignement secondaire à Braine l'Alleud, puis à Bruxelles, et y demeurera jusqu'à la fin de 1944. Il collabore à la revue Documents 34 de Mesens et est co-signataire, en 1935, du Couteau dans la plaie qui rassemble pour la première fois le groupe surréaliste de Bruxelles, Magritte, Mesens, Nougé, Louis Scutenaire, André Souris et celui du Hainaut, Achille Chavée et Fernand Dumont. En 1940, il participe à L'Invention collective, dirigée par Magritte et Raoul Ubac. En avril 1960, Marcel Lecomte devient attaché aux Musées Royaux des Beaux-Arts de Belgique. Il décède le 19 novembre 1966 à Bruxelles.  

AVIS D'UTILISATEURS

FIRST:xfirstword - "Comment j’ai entendu une jolie fille se faire dresser par une spécialiste ; suivi de, Le jeune Gérard"
stdClass Object ( [audiences] => [domains] => )

Ceci pourrait également vous intéresser...

CHAMPS DE BATAILLE

Éric Derkenne a fait du visage le théâtre de ses précises opérations.Jour après jour cerné de lignes ombrageuses, le siège du combat se disloque en de sombres cavités. Les yeux, les oreilles, les narines, la bouche sont autant de gouffres que l'artiste sonde inlassablement et qui emportent celui qui les scrute dans des tourbillons vertigineux. Les têtes prennent corps et dans ce bataillon de figures totémiques, chaque soldat se distingue grâce à une infinité de détails graphiques.Parti d'un bigbang de formes colorées et isolées dans l'espace, Éric Derkenne a mis en place au fil des ans une méthode précise et immuable, un réseau de circonvolutions de cercles et de serpentins qui envahit la feuille blanche, donnant naissance à d'énigmatiques portraits. Tel une « dentellière du stylo à bille », il s'est abîmé avec application dans ce lent ouvrage de tissage, d'entrelacement de lignes, ceignant sa propre image, par maints assauts répétés. À l'identité qui défaille, Éric Derkenne a répondu…

Tamara Vol 10. Maman, je rigole !

Tamara a trouvé l'amour auprès de Diego et Amandine…