Comme si de rien n’était


RÉSUMÉ

Dans l’existence d’Adèle, chaque chose est à sa place, toujours. Elle règne sur sa vie, parlemente avec le destin, orchestre le hasard qu’elle a appris à dompter mais qui – elle ne le sait pas encore –, est sur le point de lui exploser au visage.

À la sortie du cours de musique de son fils, elle rencontre le nouveau professeur de solfège, Hugues Lionel. Leurs regards se croisent. Lui, semble troublé et dit la reconnaître. Qui est cet homme, et pourquoi l’appelle-t-il Marie ?

Contrairement à Adèle, chez Hugues rien n’est sous contrôle, et le retour de cette femme qu’il pensait ne jamais revoir pourrait être le cadeau de la vie qu’il attendait depuis si longtemps. Quand bien même cette dernière prétend ne pas le connaître…

On peut tous se rassurer par de petits arrangements avec la vie, avec les erreurs du passé, avec ce que l’on n’aurait jamais dû voir ni même entendre. Mais peut-on indéfiniment faire comme si de rien n’était ?

Barbara Abel, considérée comme la reine du thriller psychologique, n’a pas son pareil pour faire basculer les vies ordinaires de ses personnages dans les pires cauchemars. Avec un naturel implacable, elle joue avec les petits secrets et les failles de tout un chacun. Attention, dans son prochain roman, elle pourrait bien raconter votre histoire…


À PROPOS DE L'AUTRICE
Barbara Abel
Autrice de Comme si de rien n’était
Depuis toujours, Barbara Abel se passionne pour la littérature et le théâtre. À 15 ans, elle suit les cours de théâtre à l’académie d’Etterbeek, chez Bernard Marbaix, grand comédien belge et professeur émérite. Après avoir obtenu sa licence en Philologie romane à l’ULB, elle part pour Paris où elle écume les cours de théâtre et les castings. Après quelques figurations au cinéma, des spectacles de rue et un nombre hallucinant de petits boulots en tous genres, le cœur la rappelle à Bruxelles où elle s’installe avec son amoureux. Professionnellement, la galère recommence, qu’elle décide de vaincre en écrivant une pièce de théâtre : « L’esquimau qui jardinait ». Lasse de compter sur le désir des autres pour exister, elle monte la pièce avec son compagnon, Gérard Goffaux, aidés de Jacques Viala qui s’occupera de la mise en scène et de Danièla Bisconti qui lui donnera la réplique. La pièce est un succès public et sera jouée à la Samaritaine, au C.C. Jacques Franck et au festival de Spa. Ce qu’il ressort de l’aventure ? Un gout certain pour l’écrit à défaut de contrat dans le théâtre. Barbara Abel se lance pour de bon dans l’écriture : après tout, si jouer seule dans son salon n’a aucun intérêt, personne ne peut l’empêcher d’écrire. Elle rédige un premier roman de 800 pages, une brique pas vraiment publiable en l’état mais dont les qualités littéraires sont indéniables. Elle l’envoie partout, en France, en Belgique et même au Canada, essuie les refus dont certains l’encouragent toutefois à persévérer, s’accroche à ce conseil et persévère en effet. Bien lui en a pris car, après avoir rédigé divers petits textes qui seront publiés dans des revues littéraires, puis deux scénarios de court métrage, elle retente l’aventure du roman et se lance dans l’élaboration d’un « polar ». « L’instinct maternel » obtiendra le prix du festival de Cognac en 2002 et sera publié aux éditions du Masque, très vite suivi par d’autres romans policiers : « Un bel âge pour mourir », « Duelle » et enfin « La mort en écho ».  

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