Cobalt


RÉSUMÉ

Tout est mise en rythme des pulsations, de lamarche, des flux, de l’emprise. Quête et fuite, la poésie est ecchymose. Traquer les indices de la survie, et en exhiber les traces, après. Cobalt est lerécit d’une obsession calibrée CO27 . Ce qui reste est bleu, ce qui demeure est vivant. Tu es vivante.

L’écriture ici oscille entre rage, férocité et justesse. Cette poésie débridée et moderne interroge le monde qui nous entoure, en l’état, tel qu’il se donne à nous.


DOCUMENT(S) ASSOCIÉ(S)

PRIX
  Prix de la première œuvre de la Fédération Wallonie-Bruxelles, 2020

À PROPOS DE L'AUTEUR
Maud Joiret
Auteur de Cobalt
Maud Joiret est née en 1986 à Bruxelles. Chroniqueuse notamment pour Le Carnet et les Instants, elle est programmatrice littéraire. Cobalt est son premier recueil de poésie. Quelques textes ont paru aussi pour la revue Boustro (numéro VII), Passa Porta, Poetenational.be, Bela. Lauréate d’une bourse de la Fédération Wallonie-Bruxelles - Bourse de découverte 2020


NOS EXPERTS EN PARLENT...
Karoo

Ce mardi 15 octobre, la librairie Entre Temps de Liège accueillait trois poètes belges, Karel Logist, Maud Joiret et Thibaut Creppe, pour la présentation de leurs nouveaux recueils poétiques publiés aux éditions Tétras Lyre. Retranscription d'une discussion autour de la poésie contemporaine.
Allan Debatty : On est ensemble pendant une demi-heure pour discuter avec nos poètes. Je commencerai par vous les présenter, dans l'ordre alphabétique. Commençons donc avec Thibaut Creppe. Thibaut, tu es né en 1990, tu publies un premier recueil La ville endormie, mais on a déjà pu te lire dans le Groupe Chromatique ; groupe qui a remporté le Prix Georges Lockem. Comme le public n'est pas venu m'écouter, moi, je te propose de te présenter…


Le Carnet et les Instants

 « Je suis atomisée. » Dans ce premier opus que signe Maud Joiret aux éditions Tétras Lyre, la poétesse ne croque pas la vie à pleines dents : elle y mord complètement, armée jusqu’aux dents. Jusqu’aux traces. Jusqu’à l’hématome. Dehors ça blesse, c’est étouffant et, sur la chair de l’âme, ça devient bleu. Dedans ça vit, ça étouffe et, dans les mains, ça devient cobalt.Une scission où le dehors prend le pas sur le dedans – ou vice versa – est à l’œuvre. La tonalité du « Weltschmerz » domine dans le recueil, cet « accès de mélancolie ou maladie mentale / c’est selon » où une forme d’inadéquation au monde est ressentie, portée à la millième puissance. Affects et percepts alors…


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