Le narrateur emmène Raya, qui est hospitalisée, à Ostende. Ils ont cinq jours pour rattraper le temps perdu.
Auteur de Cinq jours de bonté
Thomas Noble, le narrateur, emmène sa femme Raya à Ostende. Une permission de cinq jours lui est accordée. Hospitalisée dans une clinique spécialisée, c’est sa première sortie depuis longtemps. Thomas est nerveux. Il a peur de ses réactions. Du couloir de la mort où elle végète, il espère la conduire dans le couloir de la vie. Beaucoup de non-dits s’interposent. On sent un passé pesant, une fracture. Tous les deux sont enfermés dans des prisons différentes et ont banni depuis belle lurette de nombreux mots de leur vocabulaire, tels que chance, « espoir, demain, bonheur, chanter, rire… ». Thomas fait le clown pour détendre l’atmosphère, mais il est maladroit.Après un départ un peu bancal, Thomas redécouvre peu à peu une Raya…
Un réalisateur, couvert d’un éternel chapeau, cherche sur les toiles d’une galerie d’art un ciel…