Autrice et illustratrice de C’est moi le chef
Née le 11 août 1976 à Hermalle-sous-Argenteau.
Illustration, Saint-Luc, Liège Peinture (cours du soir), Saint-Luc, Liège.
Après des études d’illustration à Saint-Luc Liège, Estelle Meens a débuté sa carrière d’illustratrice jeunesse aux éditions Hemma. En 2010 paraît l’album Les folles journées de maman qui marquera le début de sa collaboration avec les éditions Mijade. « J’aime illustrer des situations rigolotes mais aussi plus poétiques. J’adore les enfants, je dessine pour eux et grâce à eux. Ils m’émerveillent et m’inspirent, me touchent et me font rire. Les rencontrer lors d’ateliers, de dédicaces ou d’interventions dans les classes me donnent toujours de nouvelles idées et l’envie de me remettre au boulot. Je travaille à l’aquarelle, au crayon et à l’encre, avec toujours quelques chocolats à portée de main »Auteur de C’est moi le chef
Texte de la quatrième de couverture : « Savez-vous que certaines populations d’orques…
Flip et Flap cherchent un trésor
Le grand-père de Flip et Flap leur a laissé une mystérieuse carte avant de disparaître. Les deux petits ratons laveurs décident de partir à la recherche du trésor dans la forêt et croisent de nombreux animaux sur leur chemin. Au terme de leur aventure, Flip et Flap sont heureux d'avoir rencontré plein de nouveaux amis, n'est-ce pas le plus beau trésor qu'on puisse espérer trouver ? Le grand-père de Flip et Flap est mort. Mais, avant de mourir, il leur a confié une carte au trésor. Les deux ratons laveurs n’hésitent pas : ils partent à la découverte du trésor, comme leur grand-père aventurier le faisait avant eux. Cependant, le parcours n’est pas facile : il faut affronter l’orage, ne pas céder à la tentation de raconter leur quête aux animaux rencontrés et réussir à suivre les bonnes pistes. Au passage, Flip et Flap vont aussi devoir aider nombre d’amis croisés en chemin. Les illustrations de cet album plongent immédiatement le lecteur dans l’histoire. En effet, toutes rondes, elles sont pleines de tons chaleureux, mettant bien en valeur la saison automnale du récit, et, réalisées au crayon, elles donnent une douceur qui offre à l’histoire un climat apaisant. Tout de suite, le lecteur ne peut alors que s’attacher aux deux compères et avoir envie de les suivre dans leur aventure. Pleine de rebondissements, celle-ci est truffée de bonnes surprises qui prônent les valeurs de l’amitié et de l’entraide. Puis, au dénouement, une autre lettre du grand-père est trouvée : il ne faut pas hésiter à voyager. Voilà un message très bien passé grâce à cette histoire et qui donnera très certainement envie aux jeunes lecteurs de partir explorer la forêt. On ne peut que souhaiter que les lecteurs fassent d’aussi…