Corinne Hoex, par touches successives, parle de l’amour qui se perpétue quand le corps n’est plus. Cet au-delà de l’amour fait son deuil, se révolte, ne cache ni sa tristesse, ni sa souffrance, ni son espoir. Une écriture au scalpel sert ce texte remarquable qui, avec retenue, se confronte à la mort.
Bernard Villers, par sa capacité à mettre en image des idées, révèle l’architecture du texte, son rythme, sa force. Une interprétation graphique qui invite à une double lecture du texte.
Préface de Philippe Jones À propos du livre Mélot du Dy, né à Bruxelles en 1891, mort à Rixensart en 1956,…
Recueil de poèmes qui tentent de retirer une jouissance de la vie donnée par la mort, de la vie qui…