Cassius Clay surpris et peiné par la mort de Malcolm X

À PROPOS DE L'AUTEUR
Jean Collette

Auteur de Cassius Clay surpris et peiné par la mort de Malcolm X

Jean Collette est né à Herve en 1938. Dès ses 17 ans, puis étudiant romaniste, il contribue à éditer et à faire connaître de nombreux auteurs et poètes belges des années 1950-1960. Il poursuit avec des études à l’IAD - Institut des Arts de la Diffusion -, qui le lance dans le milieu du théâtre.  Commence alors une carrière protéiforme, il travaille tantôt comme dramaturge, puis codirecteur, avec le jeune Théâtre de l’Alliance de Bruxelles, tantôt comme metteur en ondes à la RTB. À partir de 1965, pour les besoins de la troupe, il écrit ses propres pièces et ses propres adaptations.  Dès les années 1970, il travaille comme dialoguiste et coscénariste sur plusieurs productions de téléfilms et de feuilletons pour la RTB. Il multiplie bientôt les projets pour le théâtre, pour la radio et pour la télévision et prête également ses services au cinéma belge. C’est ainsi qu’il collabore notamment au scénario du film d’animation Le Chaînon manquant de Picha (1980), repris dans la sélection officielle du Festival de Cannes 1980. Il s’essaye aussi au scénario de bande dessinée pour plusieurs créations dans Le Journal de Mickey et Spirou.  Professeur d’écriture cinématographique à l’IAD, il collabore à plusieurs journaux en qualité de journaliste culturel et plus spécifiquement comme critique de cinéma et théâtre.  Dès la fin des années 80, en collaboration parfois avec Toni Cecchinato, il se consacrera désormais uniquement au théâtre, pour la Théâtre des Jeunes de la Ville de Bruxelles, l’Internationale Nieuwe Scène, le Théâtre Royal du Parc, le Théâtre Montparnasse, la Compagnie Francis Perrin. Puis, en 2015, il publiera enfin son premier roman : Cassius Clay surpris et peiné par la mort de Malcolm X.  Après une carrière professionnelle bien remplie, il revient à ses premières amours, et à sa jeunesse en pays de Herve, en composant un recueil de poésie intitulé Al cwène dès djoûs, dans lequel il use tantôt de formes classiques, tantôt de formes novatrices – l’ellipse notamment –, où il crée volontiers des expressions et où il plonge la langue wallonne dans la réalité la plus contemporaine. 

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