RÉSUMÉ

Voyageant entre Mexique et Liège, Besschops est de ces écrivants cosmopolites. Il conjugue la poésie avec les ratures des blessures. C’est un regard nouveau qui s’offre à nous. Le recueil est illustré par des encres de Christoph Bruneel, autre artiste de nos frontières entremêlées.

« Gigogne et ça cogne. Dur au coin des phrases comme des sculptures de Dali trouées de tiroirs. Ça révolutionne, s’émotionne à gogo. Ça me rappelle William Burroughs, le style déjanté délibéré, délire à rallonges, la géhenne en bandoulière et l’écolière dans le sac, la main prise dans le sac de son jus. Le Moravagine de Blaise Cendrars, pour le titre, ne fût-ce que…
Le dernier mot est « poussière » ou si peu.  Un beau tueur dans toute son exaspération, sortant de ses gongs par tous les pores de la métaphore rageuse. Un provocateur douloureux. Et des mots la faim jusqu’à plus soif. »

(Extrait de la préface de Jean-Michel Aubevert)





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