Caraïbes amères


RÉSUMÉ

Sacha a 15 ans lorsque ses parents lui annoncent que sa famille quitte Paris pour s’expatrier en République dominicaine. Mais, derrière le décor idyllique des Caraïbes, il va rencontrer une réalité bien plus sombre : la misère du peuple des bateys. Travailleurs haïtiens des champs de canne à sucre, ils sont les derniers esclaves du XXIe siècle. En compagnie d’Enrique, son nouvel ami, et de la jolie Patria, jeune maman de 17 ans, Sacha entreprend alors un voyage initiatique qui va lui permettre de porter un autre regard sur le monde.





NOS EXPERTS EN PARLENT...
Le Carnet et les Instants

Caraïbes amères est le deuxième roman pour la jeunesse de Vinciane Moeschler (après À corps parfait), qui nous fait découvrir ici le récit d’un voyage en République Dominicaine à travers le regard de Sacha, quinze ans. Après avoir obtenu un nouvel emploi de journaliste pour une durée de deux ans, le père de Sacha emménage avec femme, enfants et animaux de compagnie de l’autre côté de l’Atlantique avec l’idéal du touriste.Arrivée sur place, la petite famille déchante : pannes d’électricité, colonies de cafards, chaleur étouffante, bruit, pollution et rues dévastées par le dernier cyclone sont désormais le lot de la vie quotidienne.De son côté, Sacha est arrivé sur l’île paradisiaque avec…


AVIS D'UTILISATEURS

FIRST:xfirstword - "Caraïbes amères"
stdClass Object ( [audiences] => Array ( [0] => 9536 ) [domains] => Array ( [0] => 9548 ) )

Ceci pourrait également vous intéresser...

Opération sauvetage (T.7). Alerte : loutre blessée !

C'est la panique au QG du professeur Groscerveau ! Son ami, le professeur Libois, a recueilli une maman loutre percutée par une voiture, et il doit la soigner. Or, en attendant qu'elle guérisse,…

Le roman de Renart

Réécriture en vers.(réécrit en vers) Renart le goupil a plus d'un tour dans son sac. Que ce soit pour faire bonne chère ou tout simplement pour se jouer des humains ou du loup Ysengrin, il nous prouve que la ruse l'emporte toujours sur la force brutale. De la mésange au lion en passant par l'hermine et le corbeau, tous les animaux de ces extraordinaires récits médiévaux constituent un miroir du monde humain qui nous montre, en les grossissant, nos défauts. Un recueil de récits des XIIe et XIIIe…

La colère des Mac Gregor

Dans le grenier de sa grand-mère, Nelson, un jeune écolier fort raisonnable, trouve de vieux objets abandonnés et entend soudain des voix dans sa tête. Ce sont celles de ses ancêtres paternels, les de Trieu, enfermés dans les objets à la suite d’une malédiction datant du 15ème siècle, infligée par un seigneur écossais, Roy Mac Gregor. Nelson passe beaucoup de temps à dialoguer avec sa famille et se surprend à parler avec un râteau, une assiette en faïence, un sabre ou un poêle à bois. Il garde pour lui ce secret mais, à la mort de sa grand-mère, ses parents vendent la maison et les aïeux ! Ceux-ci se retrouvent chez un antiquaire véreux de Bruxelles, qui les disperse un par un. Nelson se sent dépassé par l’énormité de la tâche à accomplir pour retrouver sa famille, il ne peut s’en ouvrir à son père, dont l’extrême émotivité l’empêche quasiment de vivre. Il fait alors la connaissance de Victoria, une vieille dame pleine d’énergie et de ressources. Ensemble, ils vont explorer la ville, à la recherche de vases, d’assiettes et autres vieilleries afin de lever la malédiction qui pèse sur la famille et de faire en sorte que les ancêtres de Nelson puissent enfin reposer en paix. Après Bjorn le Morphir, roman de fantasy humoristique récemment adapté en bande dessinée, Thomas Lavachery publie son deuxième roman, qu’il a écrit pendant deux ans avec une classe de CM1/CM2 d’une école de Bruxelles. Le résultat est amusant, l’écriture est enlevée, les dialogues savoureux et l’idée de départ originale. A côté de la quête opiniâtre de Nelson, il y a aussi l’évocation de sa vie quotidienne et de ses relations avec ses parents, notamment avec ce père si fragile, que Nelson veut préserver à tout prix. Ce garçon est fort malgré son âge et sa quête donne de la force à ceux qu’il aime. C’est aussi ce côté-là de l’histoire…