Bubelè, l’enfant à l’ombre met en scène un petit gars de trois ans que ses parents, des Juifs polonais qui périront à Auschwitz, ont caché dans une famille flamande de ce qui était alors — Ganshoren, dans le nord de Bruxelles — un bout de campagne en périphérie de la capitale du Royaume de Belgique. Autobiographique, le récit se teinte d’un humour digne de Chaplin ou de Woody Allen. C’est le sourire aux lèvres et la gorge nouée que l’on suit les évolutions de ce bonhomme, de ce bubelè, durant la guerre et après, en quête du moindre souvenir de sa mère et d’un avenir qui lui appartienne enfin, jusqu’au seuil de son adolescence.
Auteur de Bubelè : L’enfant à l’ombre
Bien que défini comme roman sur sa couverture, Bubelè, l’enfant à l’ombre d’Adolphe Nysenholc n’entre que par… effraction dans cette catégorie. Le récit – initialement publié chez L’Harmattan en 2007 – des premières années d’un jeune enfant juif, caché sous l’Occupation par ses parents chez un couple modeste de Flamands de la banlieue bruxelloise, s’apparente en effet aux premières années de vie de l’auteur lui-même. « Bubelé », c’est « bouboule », ou « mon petit garçon », le surnom affectueux donné par la mère, Léa.
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