J’aimerais m’abandonner dans les bras de la mort Comme dans les bras d’un orgasme absolu Alors je m’y prépare Diaphane vertige J’ai la vie pour jouir M’entraîner à pénétrer dans ce plaisir incertain Une couronne à mes pieds Là où la moelle s’écroule du crâne jusqu’au bassin structuré comme un papillon prêt à s’envoler Comme un Bouddha d’os lové en soi.
Rien dans cette longue confidence qui ne soit placé sous le signe de l'amour. Il y a d'abord celui…