Robin Dubois : Best Of – Livre 1

RÉSUMÉ

N’allez pas croire tout ce qu’on raconte dans les livres, films et autres dessins animés hollywoodiens ! en vérité, la vie à Nottingham n’était pas si dure que cela. Certes, il y a bien eu un robin, et il lui est peut-être arrivé de détrousser un ou peux nobles… Mais c’était surtout pour avoir de quoi payer des coups au shérif! Le shérif ? parlons-en ! un brave type, obligé de jongler entre des contribuables récalcitrants, des percepteurs revêches, des chevaliers teutoniques un peu envahissants, et – cerise sur le pudding – une épouse qui s’oppose plutôt brutalement à sa présence dans les tavernes… Non, décidément, il était temps de rétablir quelques vérités historiques trop méconnues par le biais de ce best of!

À PROPOS DES AUTEURS
Bob de Groot

Auteur de Robin Dubois : Best Of – Livre 1

Comme tout génie qui se respecte, Bob de Groot n'a guère obtenu de résultats à l'école. Cela ne l'a nullement empêché de faire de la BD son métier en réalisant d'abord quelques travaux pour Maurice Tillieux, puis en dessinant pour les magazines «Pilote» et «Spirou». C'est alors qu'il a fait une rencontre déterminante pour la suite de sa carrière, celle de Turk, dessinateur comme lui, qui s'avèrera aussitôt le rouage qui manquait encore à sa « gagmachine ». De Groot abandonne le dessin pour se consacrer exclusivement à l'écriture. Des plus prolifiques, le duo crée «Archimède» en 1968 pour « Spirou ». Leur premier succès d'envergure, B. de Groot et Turk vont le connaître avec « Robin Dubois », personnage lancé en 1969 et qui se classera en tête du référendum des lecteurs du journal « Tintin » durant sept années consécutives. En 1972, tous deux reprennent les enquêtes de « Clifton », détective imaginé par R. Macherot treize ans plus tôt. Au terme de neuf albums, Bob de Groot poursuit cette série avec Bédu, puis Rodrigue. En 1975, de sa complicité avec Turk naissent les désormais fameuses aventures de «Léonard» dans «Achille Talon Magazine ». Le reste appartient à l'Histoire… Suivront plusieurs créations, dont quelques scénarios pour «Lucky Luke» et «Rantanplan» avec Morris, «Doggyguard» avec Rodrigue et « Le Bar des Acariens » avec Godi . À n'en pas douter, Bob de Groot a fait souffler sur la bande dessinée, un petit vent de folie salutaire et un ouragan décoiffant de génie burlesque  !
Philippe Liégeois (Turk)

Illustrateur de Robin Dubois : Best Of – Livre 1

Philippe Liégeois, plus connu sous le pseudonyme de Turk, est un auteur de bande dessinée belge né à Dubuy en 1947.

AVIS D'UTILISATEURS

FIRST:xfirstword - "Robin Dubois : Best Of – Livre 1"
stdClass Object ( [audiences] => [domains] => Array ( [0] => 9208 ) )

Ceci pourrait également vous intéresser...

Les Saisons de la vie : Accordailles (tome 1)

Si filles et garçons se côtoient parfois jusqu'à l'âge du catéchisme, après, c'est le gouffre ; le gynécée d'une part, l'atelier ou le chantier d'autre part. Quand ils sont en droit de se revoir, ils sont devenus des étrangers parfaits ; la gamine à qui on crêpait le chignon à la sortie…

Klimt

Vienne, 1907. Le peintre Gustav Klimt rend visite aux époux Bloch-Bauer. Ferdinand demande alors à Gustav de réaliser le portrait de sa femme, Adèle ; requête entraînant un flashback. Six ans auparavant, alors que Klimt essuyait des critiques acerbes au sujet de son œuvre La Médecine , il a rencontré ce couple, admirateur de son génie et dont la femme l’a prié de lui ouvrir les portes de son atelier. Au même moment, l’artiste recevait en rêve l’inspiration pour son prochain tableau. C’est par ce prisme que l’on entre dans l’univers de l’artiste : son atelier, ses modèles, sa mère, sa compagne, Émilie, mais aussi ses rêves, ses angoisses, ses sources d’inspiration en somme. L’histoire narrée en bande dessinée par Cornette et Marc-Renier est une tranche de vie, prétexte à l’évocation du peintre, de son style, de son époque et de l’avant-gardisme dont il y faisait preuve. L’idée est en effet plus de mettre en avant ses particularités que de réaliser sa biographie. Le récit est assez simple et aurait peu d’intérêt sans l’aspect « inspiré de faits réels », mais n’en est pas moins cohérent et bien rythmé.Les dessins sont soigneusement détaillés. Le rendu est classique, avec un crayonné assez fort accentuant les sujets principaux. Les travaux de Klimt évoqués sont réinterprétés plutôt que cités et le résultat est réussi et efficace : le redesign des œuvres permet une intégration fluide dans les cases tout en invitant à les découvrir sous un angle neuf.Le récit principal est suivi d’un court cahier didactique sur Gustav Klimt. Il complète la bande dessinée en développant quelques sujets qu’elle évoque. On y voit notamment des reproductions des œuvres évoquées dans l’album. Ainsi, le lecteur a à portée de main de quoi satisfaire sa curiosité, titillée par l’histoire racontée en images et phylactères.La bande dessinée Klimt est une introduction sympathique à l’œuvre de l’artiste. Les connaisseurs n’apprendront probablement pas grand-chose, là où les néophytes apprécieront l’accessibilité du propos et les informations proposées en fin d’ouvrage. Les visuels soignés plairont aux amateurs de bande dessinée traditionnelle, alors que l’histoire…