A la fois « mélodrame subsaharien », pièce « de genre » aux allures de polar sahélien et compte-rendu d’une réalité précisément observée, «Bamako» dégage un charme rare et instaure un climat à la fois nostalgique et vénéneux, où gravitent une constellation de personnages attachants : crapules, touristes naïfs, jeunes ambitieux, servantes au grand cœur, et vieux « toubabs » tannés à tous les soleils d’Afrique…
De quoi peuvent bien parler des enseignants dans une salle de profs ? De tout et de rien,…